Accélérer la construction de CPE: un pas dans la bonne direction selon Denis Tardif
Le député de Rivière-du-Loup-Témiscouata appuie la démarche d’accélération du ministre de la Famille, Mathieu Lacombe, visant à réduire les étapes administratives lors de la construction d’un nouveau CPE subventionné.
«J’entends souvent dans mes tournées à quel point il est difficile d’ouvrir un nouveau CPE. Plusieurs projets n’ont pas vu le jour dû aux complexités administratives ou aux longueurs dans le traitement des dossiers. Aujourd’hui, nous faisons un pas dans la bonne direction pour aider le réseau à se développer et offrir plus de services à la population», a souligné Denis Tardif.
L’annonce d’aujourd’hui a pour but de réduire les 17 étapes que l’on connaissait dans un projet de CPE à 9 étapes. Le député estime que ce changement accélérera le processus pour offrir des services de qualité jusqu’à une année plus tôt qu’avant. D’autres mesures sont aussi mises en place pour faciliter l’accès à de nouvelles installations telles qu'une avance de fonds pour les nouveaux projets et des allègements d’analyse pour les nouveaux organismes.
«Les parents ont besoin de services de garde afin de retourner sur le marché du travail et les entreprises ont besoin de ces employés. Il y a plusieurs parents de notre circonscription qui doivent rester à la maison et je remercie le ministre Lacombe d’avoir entendu leur message. L’accélération annoncée aujourd’hui touchera les deux projets que nous avons dans la circonscription. Soit celui de Saint-Arsène et de Saint-Modeste», a ajouté M. Tardif.
Le député rappelle qu'en plus des 46 places déjà en route au ministère pour les projets de Saint-Arsène et de Saint-Modeste, la MRC de Rivière-du-Loup aura un ajout de 60 places prochainement qui seront, elles aussi, accélérées par les mesures annoncées aujourd’hui. «Nous attendons les résultats du dernier appel de projets d’ici quelques mois afin de connaître quels projets auront été retenus dans la MRC de Rivière-du-Loup», a précisé le député.
En août 2020, le député a été interpellé par des municipalités dans les Basques et plus récemment dans la MRC du Témiscouata pour des problématiques très spécifiques. C’est pourquoi le député se concentre actuellement sur les secteurs les plus touchés. Bien que la situation dans les MRC du Témiscouata et des Basques soit moins problématique, le député est conscient que la situation n’est pas parfaite et que certains milieux ont des déficits à combler rapidement. C’est pour cette raison qu’il a accepté de déposer la pétition d'Amélie Dumais et Vanessa Dumont de Pohénégamook, à Québec.