S’il est élu le 1er octobre prochain, le candidat du Parti québécois dans Rivière-du-Loup-Témiscouata, Vincent Couture, souhaite en arriver à des décisions consensuelles en ce qui concerne les grands enjeux régionaux.

Le travailleur social de profession estime qu’il est préférable d’avoir des objectifs régionaux qui sont partagés par l’ensemble des acteurs locaux. «Les mieux placés pour savoir ce qui est bon pour eux, ce sont les personnes qui sont concernées par un enjeu. On ne peut certes plaire à tout le monde, mais il faut inclure les décideurs régionaux et locaux dans les décisions qui les concernent».

Les divisions que l’on voit aujourd’hui, dans les dossiers des écoles louperiviennes, des arénas témiscouatains, des marinas et aussi dans le cas de la Davie, où le peu de contenu québécois fait réagir l’association des fournisseurs de l’entreprise, ont tous entrainé leur lot de déception et frustrations en région, estime le candidat du Parti québécois.

«Pour moi, la fonction de député, c’est d’accompagner les gens vers un consensus, en s’impliquant activement vers une décision concertée, négociée et partagée. C’est ainsi que les gens s’intéresseront à la politique», déclare Vincent Couture. «Nous avons montré un bel exemple de concertation cette semaine: les huit candidats du Parti québécois de l’Est-du-Québec se sont entendus sur des enjeux communs et nous les avons présentés sous forme de plate-forme régionale. Nous avons fait la démonstration qu’en politique, le consensus est possible», poursuit-il.

«En 2018, il est temps de changer les façons de faire. Il est temps de travailler en équipe. Il faut être avec les gens et les accompagner dans le processus décisionnel», conclut Vincent Couture.