La transition vers une économie durable passe par le Bas-Saint-Laurent
Le candidat du Bloc québécois dans Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques, Maxime Blanchette-Joncas, affirme que la population du Bas-Saint-Laurent qu’il a l’ambition de représenter à la Chambre des communes peut être fière de son bilan environnemental.
«Le Bas-Saint-Laurent possède tous les atouts nécessaires à une transition énergétique réussie et créatrice de richesses. Nous produisons depuis longtemps de l’énergie hydroélectrique. Nous sommes des chefs de file en matière d’énergie éolienne. Les industries qui se sont développées sur notre territoire et qui continueront de le faire existent grâce à des ressources renouvelables, comme la forêt et la biomasse forestière. Nous avons l’expertise et le talent, ici, chez nous, dans des secteurs d’importance pour le développement durable», affirme Maxime Blanchette-Joncas.
Le Bloc québécois veut bonifier le programme de rabais à l’achat d’un véhicule électrique et rendre ceux-ci plus abordables pour les ménages. Il déposera un projet de loi zéro émission pour forcer les constructeurs automobiles à rendre disponible sur le marché une proportion minimale de véhicules à émissions nulles ou faibles. Maxime Blanchette-Joncas est également d’avis qu’il faut mettre fin aux subventions aux énergies fossiles.
Le Bloc veut le retour d’un programme similaire au programme ÉcoÉnergie, aboli par les conservateurs et jamais remis en place par les libéraux, pour aider les citoyens dans leurs projets résidentiels. «Plus le Québec réduira sa consommation d’énergie résidentielle, plus nous aurons de ressources en énergie pour l’électrification des transports.»
Le Bloc québécois veut instaurer un levier fiscal, la péréquation verte, qui récompensera les bons joueurs, ceux qui travaillent à réduire leurs émissions de GES. Selon le parti politique, il faut faire en sorte que polluer devienne couteux et que réduire son empreinte carbone devienne payant.
Compte tenu de la tragédie survenue à Lac-Mégantic et de tous les déraillements répertoriés au Canada, le Bloc québécois exige que les municipalités aient accès en temps réel à la quantité et au type de matières dangereuses en circulation sur leur territoire. Le Bloc s’oppose à toute augmentation du transport de pétrole à travers le Québec.
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