Tant d’enthousiasme pour sauver les arbres et la planète, si peu d'effort à sauver un être humain semblable à nous... La réponse typique est "oui mais lorsqu'une femme est victime de viol ou d'inceste". Allez voir les études sur les motifs derrière les avortements, et vous verrez que moins de 1% des femmes le font pour ce motif. La raison dominante est que ce serait un grand bouleversement imprévu dans leur vie ou pour raison financière. Ce sont dans la majorité des cas des raisons égoïstes, illégitimes et lâches. Dans notre société actuelle nous préférons protéger une femme qui a fait un mauvais choix et qui ne veut pas en vivre les conséquences, au lieu de protéger une vie humaine innocente qui a le droit de vivre. Vraiment, on devrait définitivement revoir la question et réévaluer qui nous voulons réellement protéger: les femmes qui étaient pleinement en contrôle de leur situation mais qui ne veulent pas faire face à la conséquence de leur choix, ou les vies innocentes. Nous sommes supposés protéger la veuve ET l'orphelin; mais sous prétexte de protéger une femme en détresse, nous tuons l'orphelin. Nous avons du sang sur les mains, je ne suis pas fier d'être québécois pour cela.

Je trouve que cette notion de droit n'est qu'une belle mascarade pour cacher l'égoïsme de l'être humain. Les droits de l'homme sont changés selon notre bon plaisir pour nous satisfaire et apaiser notre conscience. Jusqu'à quel stade de la grossesse l'embryon n'est-il pas considéré comme un humain? Qui établira cette norme? Et si je change d'avis une fois que mon enfant est né et que je n'en veux plus, est-ce que MON droit de femme libre est encore bon et pourrais-je me départir de mon enfant? Est-ce qu'un enfant en formation à droit à la vie? Peut-être que non puisqu'il n'a pas encore la capacité de parler et de se défendre. Je crois que notre définition de droit serait à revoir...

Je trouve que cette notion de droit n'est qu'une belle mascarade pour cacher l'égoïsme de l'être humain. Les droits de l'homme sont changés selon notre bon plaisir pour nous satisfaire et apaiser notre conscience. Jusqu'à quel stade de la grossesse l'embryon n'est-il pas considéré comme un humain? Qui établira cette norme? Et si je change d'avis une fois que mon enfant est né et que je n'en veux plus, est-ce que MON droit de femme libre est encore bon et pourrais-je me départir de mon enfant? Est-ce qu'un enfant en formation à droit à la vie? Peut-être que non puisqu'il n'a pas encore la capacité de parler et de se défendre. Je crois que notre définition de droit serait à revoir...

Tant d’enthousiasme pour sauver les arbres et la planète, si peu d'effort à sauver un être humain semblable à nous... La réponse typique est "oui mais lorsqu'une femme est victime de viol ou d'inceste". Allez voir les études sur les motifs derrière les avortements, et vous verrez que moins de 1% des femmes le font pour ce motif. La raison dominante est que ce serait un grand bouleversement imprévu dans leur vie ou pour raison financière. Ce sont dans la majorité des cas des raisons égoïstes, illégitimes et lâches. Dans notre société actuelle nous préférons protéger une femme qui a fait un mauvais choix et qui ne veut pas en vivre les conséquences, au lieu de protéger une vie humaine innocente qui a le droit de vivre. Vraiment, on devrait définitivement revoir la question et réévaluer qui nous voulons réellement protéger: les femmes qui étaient pleinement en contrôle de leur situation mais qui ne veulent pas faire face à la conséquence de leur choix, ou les vies innocentes. Nous sommes supposés protéger la veuve ET l'orphelin; mais sous prétexte de protéger une femme en détresse, nous tuons l'orphelin. Nous avons du sang sur les mains, je ne suis pas fier d'être québécois pour cela.