Le Parti Québécois de la circonscription salue le programme favorisant la création de logements locatifs à Témiscouata-sur-le-Lac
La ville de Témiscouata-sur-le-Lac a adopté le 6 décembre dernier une nouvelle réglementation qui a comme but d’accorder un crédit de taxes de 100 % sur une période maximale de cinq ans dans le cas d’une nouvelle construction en plus d’offrir un crédit de taxes pour chaque type de nouveaux logements admissibles créés à la suite de travaux de rénovation. Le dernier candidat au Parti Québécois dans Rivière-du-Loup - Témiscouata, Félix Rioux, se réjouit de voir la ville amener des solutions à la crise de logements qui frappe de plein fouet la région.
Comme l’explique le maire Denis Blais dans son communiqué, le but de cette nouvelle réglementation a pour but de pallier le grand manque de logements locatifs à des fins résidentielles sur son territoire. «Durant la dernière campagne, plusieurs municipalités, entreprises et établissements scolaires professionnels ou collégiaux m’expliquaient que le plus gros frein à leur développement était le manque de logements. L’inaction et le manque de sérieux du gouvernement de la CAQ lors de son dernier mandat envers la crise du logement causent justement ce genre de situation. Ce sont les municipalités qui doivent pallier l’absence du gouvernement caquiste dans ce dossier», a déclaré l’ex-candidat.
En plus d’être une bonne solution pour remédier au manque de logements, ce crédit de taxe pourrait bien profiter à une bonne partie de la population. «Tout est une question d’offre et de demande : plus il y a de logements, plus il y a de chances que le coût moyen pour un logement locatif diminue. Cette règle constitue la base de l’économie et du marché immobilier», explique Félix Rioux.
Félix Rioux espère que la députée de la Coalition Avenir Québec de Rivière-du-Loup - Témiscouata, Amélie Dionne, travaille de concert avec les municipalités de la circonscription afin de faire débloquer rapidement des projets immobiliers de logements sociaux ou abordables en plus d’être la porte-voix sur la refonte du zonage agricole. «Plusieurs projets ou maisons pourraient être construits dans notre région, mais ils font face souvent à des zones dites agricoles qui n’ont jamais été cultivées ou qui ne sont pas fertiles du tout. La crise du logement n’était pas seulement un enjeu électoral. Elle existe encore et notre région en souffre beaucoup», conclut M. Rioux.
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