Coup d’envoi du Défi 100 % local dans le Bas-Saint-Laurent
Les bas-laurentiennes et les bas-laurentiens sont officiellement sur la ligne de départ du Défi 100 % local, qui débute aujourd’hui et se poursuit durant tout le mois de septembre ! Pour cette 8e édition, des milliers de personnes de toutes les régions de la province se sont lancé le défi de mettre plus de produits locaux dans leur assiette, et de développer ainsi leur curiosité et leur autonomie alimentaire. Il n’est d’ailleurs pas trop tard pour joindre la course, puisque les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 30 septembre au defijemangelocal.com.
UN POUR CENT À LA FOIS
Le Défi 100 % local s’adresse à tous et il se réalise un pour cent à la fois. Modifier ses habitudes alimentaires et de consommation est un cheminement, et le Défi vise justement à accompagner les citoyennes et les citoyens dans cette transition, sans l’obligation d’atteindre la perfection.
«Le but, c’est de rendre le local encore plus accessible. Nul besoin d’être un expert pour relever le Défi 100 % local. Tout le monde peut participer à sa façon», précise madame Nicole Lavoie, directrice générale des Saveurs du Bas-Saint-Laurent.
RELÈVEREZ-VOUS LE DÉFI 100 % LOCAL ?
La population du Bas-Saint-Laurent est invitée à s’inscrire le plus tôt possible, si ce n’est déjà fait, pour ne rien manquer du contenu, des trucs, des astuces, des recettes et des outils de cette 8e édition du Défi 100 % local, disponible en ligne et personnalisé pour le Bas-Saint-Laurent defijemangelocal.ca/region/bas-saint-laurent/. Pas encore convaincus ? Pour motiver les troupes, le Défi organise des concours particulièrement excitants cette année. Il suffit de s’inscrire pour courir la chance de gagner un crédit-voyage gourmand d’une valeur de 500 $, un chèque-cadeau de 200 $ à la SÉPAQ ou l’une des 16 boîtes gourmandes à saveurs régionales.
En participant au Défi, on pose un geste engagé qui fait vivre des familles, dynamise le territoire, renforce le tissu social, réduit notre empreinte environnementale et fait tourner l’économie locale. Le tout, en profitant de l’abondance des récoltes et en assouvissant sa gourmandise.