1 650 000 $ pour l’électrification d’autobus scolaires chez Camille Mailloux R.D.L.
Le gouvernement du Québec octroi aide financière de 1 650 000 $ à l’entreprise Camille Mailloux R.D.L. afin de mieux la soutenir dans l’électrification de leurs autobus. Le député de Rivière-du-Loup-Témiscouata, Denis Tardif, en a fait l’annonce aujourd’hui au nom du ministre des Transports, François Bonnardel.
L’électrification des transports représente une réelle occasion pour le Québec de contribuer à la lutte contre les changements climatiques. C’est pourquoi le gouvernement pose des gestes concrets pour réduire de façon significative les émissions de gaz à effet de serre (GES) liées aux transports et ainsi atteindre la cible d’électrification de 65 % des autobus scolaires du parc québécois d’ici 2030.
«L’investissement annoncé aujourd’hui est un exemple tangible de la transition verte pour le transport des élèves. Il s’agit d’un engagement ferme envers les jeunes de la circonscription pour leur assurer un meilleur avenir. Cette approche représente un pas de plus vers des transports plus verts et une région toujours plus écologique», a déclaré Denis Tardif, député de Rivière-du-Loup-Témiscouata.
«Je suis très fier de ce soutien important pour l’électrification des autobus scolaires. L’électrification des transports est l’avenue à suivre pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et atteindre les cibles ambitieuses du Plan pour une économie verte 2030. Je suis convaincu que les gestes concrets posés par notre gouvernement et par l’industrie du transport scolaire pour cette transformation exemplaire nous permettront d’atteindre ces objectifs», a soutenu François Bonnardel, ministre des Transports.
Doté d’un montant de 250,7 M$ jusqu’en 2024, le Programme d’électrification du transport scolaire est financé dans le cadre du Plan de mise en œuvre 2021-2026 du Plan pour une économie verte (PEV) 2030. Ce programme soutient financièrement les transporteurs scolaires dans le cadre de l’électrification de leur parc de véhicules et vise à réduire de près 65 000 tonnes de GES les émissions associées au transport scolaire au Québec d’ici le 31 mars 2024.