L’Alliance de l’Est salue la relance du projet Apuiat
L’Alliance de l’Est s’est réjouie de l’annonce du gouvernement du Québec de la concrétisation du projet de parc éolien Apuiat et des propos du premier ministre François Legault concernant la relance de la filière éolienne au Québec.
L’Alliance de l’Est félicite les communautés Innus de la Côte-Nord et Boralex pour leur persévérance et leurs efforts pour mener à terme cet important projet qui, selon le premier ministre, relancera la filière éolienne au Québec.
Le projet Apuiat des communautés Innus et les projets Roncevaux et Nicolas-Riou de l’Alliance de l’Est démontrent clairement que la participation des partenaires publics et communautaires au développement et à l’exploitation des projets d’énergie renouvelable ajoute une valeur importante à l’investissement des développeurs et producteurs privés auxquels les communautés sont associées à parts égales. Ce partenariat facilite l’acceptabilité sociale et améliore la rentabilité des projets, tout en assurant à Hydro-Québec de l’énergie à un coût très concurrentiel.
Le modèle économique mis de l’avant par l’Alliance de l’Est a fait ses preuves et a su confondre les plus sceptiques qui ne croyaient pas que les communautés étaient en mesure de contribuer par leur expertise et leur participation financière au développement et à l’exploitation des projets de production d’énergies renouvelables sur leur territoire.
Maintenant que ce modèle est reconnu et apprécié par les partenaires privés, l’Alliance demande que la participation égalitaire des partenaires publics fasse partie des exigences des prochains appels d’offre d’achat d’énergie renouvelable.
«La filière éolienne dans nos régions est maintenant une filière mature, capable d’offrir à Hydro-Québec et aux Québécois de l’énergie à un prix avantageux en comparaison aux nouveaux projets de barrages électriques. La mise en place de parcs éoliens permet également à Hydro-Québec d’avoir accès, par paliers de production, à une production d’électricité en fonction de ses besoins en temps réel», souligne Michel Lagacé, président de la Régie intermunicipale de l’énergie Bas-Saint-Laurent.