X
Rechercher
Nous joindre
Publicité

Le futur chalet de ski de fond s'attire des éloges

durée 2 mai 2019 | 11h50
  • François Drouin
    Par François Drouin

    Directeur de l'information, journaliste

    La présentation de la modélisation graphique du futur chalet de ski de fond du quartier Saint-Ludger à Rivière-du-Loup a été bien accueillie par la quarantaine de personnes présentes à la rencontre d'information tenue le mercredi 1er mai à la salle du conseil de l'hôtel de ville.

    «Des gens ont applaudi. Le mérite revient en grande partie à l'architecte Daniel Dumont. Le concept a non seulement été approuvé, mais il a plu. On ne sait jamais comment les gens vont réagir alors oui, nous sommes heureux de l'accueil», souligne le directeur du Service loisirs, culture et communautaire, Benoît Ouellet.

    Les résidents du secteur, qui ont été rencontrés avant la séance d'information, ont aussi reçu l'assurance que leur quiétude serait préservée alors que le chalet ne devrait pas être disponible en location lors de la saison estivale.

    L'ancien chalet, deux constructions jumelées, nécessitait une profonde mise à niveau. La Ville a donc abordé la nécessité des rénovations dans une vision plus globale et surtout dans une perspective à long terme.

    Le règlement d’emprunt est de 191 412 $ alors que les couts du projet sont estimés à près de 178 000 $. Quant au cout réel, la réponse se trouvera dans l’enveloppe à l’ouverture des soumissions.

    Le chalet existant présente d'importantes problématiques. Outre l'aspect visuel, des problèmes de structure liés à sa portance, mais aussi des manques au niveau de la ventilation et de l'isolation ont été révélés. Un carnet de santé qui laissait présager d'importants travaux.

    «Nous les avons abordés dans un objectif de développement durable. Les deux chalets parallèles profiteront d'une nouvelle configuration alors qu'un des modules sera disposé à 90 degrés. Il en résulte une construction pratique qui disposera de sa propre terrasse. La Ville veut être un bon voisin corporatif et la construction s'intègrera dans le quartier», souligne M. Ouellet.

    Les travaux comprendront la reconfiguration des lieux pour répondre à la hausse de la fréquentation, tout en visant une meilleure intégration des bâtiments sur le site.

    Plus de 400 membres fréquentent le chalet pour s’adonner au ski de fond, une donnée qui ne comptabilise en outre ni les amateurs de raquette ni ceux de vélo à pneus surdimensionnés (fatbike), deux disciplines dont l’engouement croît sans cesse.

     

    commentairesCommentaires

    1

    • BDS
      Bénévole du ski
      temps Il y a 6 ans
      Un nom d’un grand bénévole du ski de fond a été souligné lors de cette présentation. Rodolphe Pelletier.

      Il était des premiers jour du projet il y a de cela plusieurs années. Il ne comptait pas ses heures pour en arriver aux chalets que l’on connaît maintenant.

      La ville devrait nommer le futur chalet à son nom pour reconnaître ses efforts.
      Qui prendra ce dossier et le portera?
    Publicité

    RECOMMANDÉS POUR VOUS


    16 mai 2025 | 13h05

    Une étoile Michelin pour le restaurant du chef Pierre-Olivier Pelletier

    La sélection du Guide Michelin pour le Québec a été dévoilée le 15 mai et le Bas-Saint-Laurent y brille à plusieurs endroits. Le restaurant québécois du chef Pierre-Olivier Pelletier, originaire de Saint-Éloi, a notamment obtenu l’une des 10 étoiles attribuées à travers la province.  Le Kebec Club Privé, qu’il dirige avec sa conjointe Cassandre ...

    16 mai 2025 | 6h59

    Le Cégep de Rivière-du-Loup devra encore couper dans son budget

    Les coupures dans le réseau collégial évaluées à 150 M$, révélées par La Presse le 12 mai, n’épargneront pas la région. Le Cégep de Rivière-du-Loup devra trouver le moyen de retrancher entre 500 000 $ et 1 M$ de son budget, et ce, sans réduire les services aux élèves. La directrice générale du Cégep de Rivière-du-Loup, Isabelle Cloutier, doit ...

    16 mai 2025 | 6h00

    Pénurie de technologistes médicaux: un plan de contingence et des inquiétudes

    La pénurie de main-d’œuvre touche de nombreux secteurs, et le domaine de la santé n’y échappe pas dans le KRTB. Après la radiologie, l’obstétrique et la mammographie, c’est maintenant au tour des laboratoires d’être frappés puisque le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) du Bas-Saint-Laurent doit composer avec une pénurie de ...