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Le Parc national du Lac-Témiscouata franchit la barre des 60 000 visiteurs annuellement

durée 16 avril 2019 | 14h10
  • Créé le 18 novembre 2009, le Parc national du Lac-Témiscouata a dépassé son objectif d’accueillir annuellement 60 000 visiteurs. À l’aube de sa dixième année d’existence, voici un bilan des dernières années.

    Le 21 juin 2013, le parc ouvrait ses portes avec un seul secteur de 81 emplacements de camping, dont 5 prêts-à-camper. Déjà, l’objectif de 40 000 jours-visites avait été atteint.

    En 2014, l’accès par Saint-Juste-du-Lac était ouvert avec la construction du centre de services de la Passerelle. De plus, un nouveau sentier était ouvert, le Sentier du Draveur. Le nombre de prêts-à-camper montait à 14 emplacements. En 2015, la fréquentation atteignait 44 000 jours-visites.

    En 2016, les secteurs du Grand-Lac-Touladi et des Grands-Pins s’ouvraient aux visiteurs. L’offre de camping du parc doublait alors, passant à 161 sites, dont 23 prêts-à-camper, en plus des sites de canot et vélo camping. De plus, le Sentier des Grands-Pins était ouvert et l’accès principal du parc était asphalté sur près de 10 km. La fréquentation atteignait 48 000 jours-visites.

    En 2017, le projet d’investissement de 30 millions annoncé en 2009 se terminait, avec l’ouverture du Sentier des Curieux de nature, un sentier ludique de 0,7 km avec stations de découverte. C’était aussi la première année ou le nombre de jours-visites dépassait 50 000.

    En 2018, le parc mettait en place le projet-pilote autorisant l’accès aux chiens dans le secteur de l’Anse-à-William. Puis, l’acquisition de la navette nautique entre le parc et le quartier Cabano assurerait un lien direct entre les usages du parc et la clientèle vélo. Au 28 février dernier, le parc avait accueilli en 2018-2019, 62 801 visiteurs.

    Après 6 années d’opération, le parc affiche un des plus hauts pourcentages d’augmentation du réseau des parcs nationaux du Québec. Le directeur du parc, Denis Ouellet, se dit satisfait.

     «Cela démontre comment la mobilisation d’une région, avec l’appui gouvernemental, peut permettre la réalisation de grands projets structurants ayant un impact considérable non seulement sur l’industrie touristique, mais aussi sur la conservation pour le bénéfice des générations futures.»

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