Le Collectif social de Notre-Dame-du-Lac continue sa démarche
Le 14 juillet dernier, les représentants du Collectif social ont pu échanger avec le député fédéral Guy Caron sur la situation actuelle vécue par les citoyens de Témiscouata-sur-le-Lac concernant notamment la gestion du dossier des arénas.
D’entrée de jeu, M. Caron s’est questionné sur la notion de transférabilité des subventions. Il a indiqué que cette notion est vraiment inhabituelle dans les processus gouvernementaux fédéraux puisque l’obtention d’une subvention s’appuie sur une analyse de plusieurs critères se traduisant de manière unique pour chaque projet soumis.
Les représentants du Collectif social ont aussi échangé avec M. Caron sur différents points liés à la dernière séance du conseil municipal, notamment le dépôt d’une liste de 100 signataires «anonymes» et la réponse à la proposition de médiation du député-ministre Jean D’Amour.
Tout en soulignant que la loi sur la gestion des municipalités relève du gouvernement provincial, M. Caron a indiqué que tout élu, qu’il soit de niveau municipal, provincial ou fédéral, doit promouvoir les valeurs démocratiques dans l’exercice de ses fonctions. Par conséquent, il se dit en accord avec la proposition de médiation suggérée par M. D’Amour dans ce dossier.
Pour le Collectif social, la transparence et la recherche de consensus des élus municipaux sont des valeurs démocratiques essentielles à l’harmonie de notre ville. C’est en ce sens qu’il poursuit sa démarche en rassemblant le plus d’informations objectives concernant la gestion du conseil municipal de Témiscouata-sur-le-Lac, notamment concernant le dossier des arénas.
4 commentaires
« Tout en soulignant que la loi sur la gestion des municipalités relève du gouvernement provincial, M. Caron a indiqué que tout élu, qu’il soit de niveau municipal, provincial ou fédéral, doit promouvoir les valeurs démocratiques dans l’exercice de ses fonctions. » Donc: respectez 90% de la population qui souhaite que le ville ne s’endette pas de 2 millions supplementaires en écoutant les balivernes de quelques urluberlus chauvins et déconnectés. Je ne comprends pas encore pourquoi ce groupe de contestataire est écouté. J’encourage monsieur D’Amours à régler le dossier avant les élections, les conséquences pour lui pourraient être désastreuses.
Pourquoi cette confirmation officielle de subventions non transférables n'est pas déjà émise par le gouvernement?