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Coexistence travail-études en informatique au Cégep de Rivière-du-Loup

durée 13 mars 2018 | 06h02
  • En implantation dès l’automne 2018, le programme révisé Techniques de l’informatique offrira une formule novatrice aux étudiantes et étudiants inscrits dans le nouveau programme, soit la coexistence travail-études (CTÉ).

    Cette formule d’apprentissage offre à l'étudiant la possibilité d’occuper un emploi rémunéré dans son champ disciplinaire tout en poursuivant ses études. Elle lui permet de combiner, dans une même semaine, un travail rémunéré en entreprise à raison de deux à trois jours par semaine et la poursuite des apprentissages en classe. «Il acquiert ainsi de l’expérience professionnelle, soit l’équivalent d’une année et demie à temps plein à la fin de son diplôme d’études collégiales (DEC). Si l’étudiant commence son programme de coexistence par un stage d’été à temps complet en alternance travail-études (ATÉ), il aura la chance de se familiariser avec son nouvel environnement de travail facilitant ainsi son intégration au marché du travail», souligne Diane Morisset, enseignante en Techniques de l’informatique.

    Afin de répartir les cours de façon à rendre possible ce cheminement, l’étudiant accepte de prolonger d'une année sa formation, soit quatre ans au lieu de trois ans pour le programme régulier. Conséquemment, l’étudiant doit réussir avec succès tous ses cours disciplinaires des deux premières années et doit être retenu par un employeur à la suite d’une entrevue de sélection.

    «Le parcours sur trois ans demeure possible, la CTÉ étant simplement une option supplémentaire de cheminement pédagogique à choisir une fois les deux premières années complétées», ajoute Diane Morisset.

    Les avantages de la CTÉ sont nombreux pour toutes les parties impliquées. Pour l’étudiant, il s’agit d’obtenir une année et demie d’expérience de travail concrète, d’agrandir son réseau de contacts, de donner du sens à ses études et ainsi bénéficier d’une plus grande autonomie financière. Du côté de l’employeur, il est question de collaborer activement à la formation de l’étudiant et d’assurer la relève dans un domaine en pénurie de main-d’œuvre.

     

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