Michel Forget reçoit l'appui de Paul Crête et d'André Simard
Le candidat du Parti québécois dans Côte-du-Sud, Michel Forget, a reçu l'appui de Paul Crête et d'André Simard, tous deux ex-députés.
Le premier a été député bloquiste de Montmagny - L'Islet - Kamouraska - Rivière-du-Loup de 1993 à 2009 et le second député de Kamouraska - Témiscouata pour le PQ de 2010 à 2012. Rappelons aussi que Paul Crête a été candidat pour le Parti québécois lors de l'élection partielle dans Rivière-du-Loup de 2009.
«Quand je constate les expériences de Michel Forget, sa connaissance de Côte-du-Sud, la liste des entreprises où il est intervenu, tout cela me fait dire qu'il est, parmi les candidats actuels, celui qui est le mieux outillé pour devenir député de Côte-du-Sud», a souligné Paul Crête.
De son côté, le candidat a rappelé que l'on devait aux gouvernements du Parti Québécois l’adoption de la première loi sur la protection du territoire agricole, la création des MRC, la création des Carrefours jeunesse-emploi, la création du Ministère des régions, la création des CLD. On doit également à des gouvernements du Parti Québécois plusieurs mesures à impact social, dont la création de la Régie du logement et la création du réseau des CPE.
Voici quelques-unes des mesures proposées dans la présente campagne électorale.
• Aider celles et ceux qui en ont réellement besoin via une allocation de 1200$ (pour revenus inférieurs à 50 000$) ou de 750$ (pour revenus entre 50 000$ et 80 000$).
• Aider les aînés de 65 ans et plus ayant un revenu inférieur à 35 000$ par l’octroi d’une allocation de 1000$.
• Doubler le crédit d’impôt de solidarité.
• Hausser graduellement le salaire horaire minimum jusqu’à 18$.
• Réformer la Loi sur l’équité salariale afin de lui donner plus de mordant.
• Ajouter près de 135 000 places au réseau des CPE (nouvelles places et conversion de places en garderies privées). Ces mesures permettront de combler le déficit de 52 000 places en garderie pour avoir, enfin, un enfant une place.
• Créer 25 000 logements sociaux en 5 ans.
• Cibler la régionalisation de 50% des nouveaux arrivants, avec une voie rapide pour celles et ceux qui s’engagent à s’installer en région, et des incitatifs pour qu’ils y demeurent.
• Lever les barrières fiscales qui dissuadent les gens de 60 ans et plus à demeurer actifs sur le marché du travail. Cela se traduira par un important rabais d’imposition, sans pénalité quant aux revenus de retraite.
• Créer un PQI régional totalisant 70 G$, soit une enveloppe bonifiée de 11 G$. Cela représente un gain de 1,1 G$ par année, ce qui permettra de rattraper le retard dans les investissements en région. Le tout sera géré par des antennes régionales d’un nouveau ministère (Développement régional) afin de collaborer efficacement avec les acteurs locaux.