À l’ombre du sureau, un recueil de poèmes de Marie-Lina Savoie
2 mars 2013 |
15h46
Par Hugues Albert
Journaliste
« L’écriture de ce recueil m’a demandé huit années de ma vie », souligne Mme Savoie. Elle a obtenu en 2009 une flamme d’argent lors du concours des Flammes Vives de la poésie à Brie en France avec le poème, « Un bonheur qui s’efface », écrit lors d’une réunion de famille après le décès de son père.
Un de ses poèmes, « Poètes des forêts », qui n’en sont plus, a également été publié dans une anthologie de poèmes sur l’enfance lors de ce même concours. Perfection de style dans le but d’offrir beauté, émotion et une recherche de spiritualité, cette œuvre littéraire s’inspire des lectures des poèmes de Ronsard que lui faisait son père avant de s’endormir et des fables de La Fontaine qu’elle récitait à l’école.
NOTIONS DE LA POÉSIE
La poésie est l’art de combiner sonorités, rythmes et mots afin d’évoquer des images, de suggérer sensations et émotions. Le style de poésie que propose Marie-Lina Savoie dans son recueil comporte des notions qu’elle définit à l’intérieur de l’ouvrage en annexe et qui permet de comprendre toute la complexité et la subtilité de l’écriture en vers en plus d’un glossaire, lexique de mots rares utilisés en poésie dont elle donne la définition.
Les poèmes de Marie-Lina Savoie dans « À l’ombre du sureau » sont comme un bon vin qu’on aura le plaisir de déguster à petites gorgées pour en apprécier la pleine saveur.
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