Pascal Bérubé salue l’appui accordé aux entreprises sylvicoles
18 avril 2013 |
16h22
« La ressource forestière est une priorité et une source de fierté nationale pour notre parti. Voilà pourquoi notre intention a toujours été de maintenir les emplois en forêt. D’ailleurs, je salue la rapidité d’intervention et la perspicacité de la ministre des Ressources naturelles qui a rapidement compris que l’industrie forestière était à la base de notre économie locale et régionale. Malgré la situation difficile des finances publiques, Martine Ouellet envoie un signal clair et positif aux travailleurs forestiers du Bas-Saint-Laurent en cultivant la forêt pour en assurer l’avenir », a indiqué le ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent, Pascal Bérubé.
Malgré un déficit de 1,6 milliard de dollars hérité du gouvernement libéral, la ministre des Ressources naturelles, Martine Ouellet, a fait tous les efforts possibles pour continuer à investir dans les travaux sylvicoles. « Investir en sylviculture et en aménagement forestier, c’est investir dans l’avenir de la forêt au Québec », a-t-elle souligné.
Pascal Bérubé, ministre délégué au Tourisme et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent, se réjouit de voir le programme de création d’emplois en forêt (PCEF) recevoir un budget de 15 millions de dollars. « Ce programme est un appui important pour la région du Bas-Saint-Laurent particulièrement pour la forêt privée qui recevra 5 185 000 $. Il vise principalement à soutenir la création ainsi que le maintien d’emplois sylvicoles en région. »
Pour la forêt publique, la ministre Martine Ouellet s’était engagée l’automne dernier à maintenir l’enveloppe de 166 millions de dollars affectée aux entreprises sylvicoles. Aujourd’hui, elle annonce que le budget de 166 millions de dollars directement accordé aux entreprises sylvicoles est bonifié et passe à 171 millions de dollars. Pour permettre une meilleure transition du débroussaillage aux travaux commerciaux, la ministre a bonifié le montant relatif aux travaux de débroussaillage qui passe de 57 à 65 millions de dollars, ce qui couvre l’ensemble des surfaces disponibles pour les travaux sylvicoles. Pour ce qui est de la forêt privée, le budget de 28,5 millions de dollars est intégralement maintenu. À cela s’ajoute une aide ponctuelle de 5 millions de dollars pour combler la fin du programme d’investissements sylvicoles (PIS) en forêt privé.
Avec l’ensemble des activités en forêt publique et en forêt privée pour les travaux sylvicoles et l’aménagement de la forêt, c’est un total de 254 millions de dollars qui sera investi au Québec en 2013-2014. Toutes ces bonifications sont rendues possibles grâce au réaménagement du budget du ministère des Ressources naturelles ainsi qu’à l’obtention de financement externe.
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