Quatre grandes priorités en 2020 pour le député Denis Tardif
Le député de Rivière-du-Loup-Témiscouata, Denis Tardif, veut faire de 2020 une année consacrée au développement économique, à la santé, à l’environnement et à l’éducation. Le député s’est investi dans cette mission puisqu’il a déjà fait trois tournées dans la MRC des Basques et de Rivière-du-Loup et a visité plus d’une vingtaine d’entreprises.
«C’est le défi de nos entreprises en région, pour rester compétitives, d’effectuer le grand virage numérique. Je crois fermement que le développement économique passe par l’investissement dans les entreprises. Je compte aussi travailler sur plusieurs dossiers majeurs de la circonscription: la deuxième phase du CHSLD des Chauffailles, les horaires de faction des paramédics, le virage numérique et le service cellulaire à haut débit dans le haut-pays et la création d’une zone d’innovation technologique», a rappelé le député Denis Tardif.
«Nous allons aussi continuer le travail entrepris concernant la rénovation du poste de la Sûreté du Québec à Témiscouata-sur-le-Lac, quartier Notre-Dame-du-Lac. Au début de mon mandat, on m’avait informé que ce dossier était considéré comme étant la deuxième priorité dans la région du Bas-Saint-Laurent. J’ai demandé un état de situation sur ce dossier», précise le député de Rivière-du-Loup-Témiscouata. L’an dernier, il avait pris position dans le dossier du poste de la Sûreté du Québec pour qu’il demeure à Témiscouata-sur-le-Lac dans le quartier Notre-Dame-du-Lac. Le député s’en remettait toutefois à la décision finale de la Sûreté du Québec (SQ) et de la Société immobilière du Québec (SIQ).
À la fin janvier, le député de Rivière-du-Loup participera au caucus des députés et ministres dans la municipalité de Saint-Sauveur-des-Monts dans les Laurentides. Sur le plan parlementaire, Denis Tardif retourne cette semaine en commission avant le retour en Chambre de tous les députés le 4 février pour la reprise des travaux à l’Assemblée nationale.
4 commentaires
Écoutez cette entrevue avec un universitaire qui explique que le vrai problème dans
la MRC des Basques, qui en est un de démographie:
https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/meme-frequence/segments/entrevue/151887/basques-bas-saint-laurent-dy-simardnamisme-devitalisation-majella
Le nombre d'habitants va probablement sombrer sous la barre des 8,000 et 3-P devrait
perdre son statut de (Ville) avec bientôt moins de 3,000 âmes.
Il y a plus de décès et de départs migratoires que de naissances , ça n'est pas compliqué
a comprendre !
Si cette hémorragie qui dure depuis 50 ans et + n'est pas renversée, c'est une disparition
d'ici 10 a 20 ans, 15 ?
Les jovialistes et autres porteurs de lunettes roses comme Bertin Denis vous serviront une
autre sérénade (salade...) mais la réalité est que leurs efforts de développements ne donnent
pas les résultats nécessaires.
Comment voulez-vous qu'un des endroits les pauvre du Québec se sorte du trou, quand les
services offerts a leurs citoyens leur coûtent de 3 a 4 fois plus cher qu'ailleurs ?!?
C'est le tiers monde = les 2 tiers des emplois sont ceux de fonctionnaires de tout niveaux
confondus qui s'occupent du troisième tiers, en majorité des personnes âgées et démunies.
Quand la tête est plus grosse que le corps, la loi de la gravité finie par reprendre ses droits
et cette créature (MRC) va se consumer d'elle même...