Aide médicale à mourir : conférence de Mgr Bertrand Blanchet
24 novembre 2019 |
15h00
On dit qu’au Québec, le nombre de personnes décédées en recourant à l’aide médicale à mourir (AMM) a augmenté de 30 % au cours des six derniers mois de 2017.
«Toutes proportions gardées, c’est à Québec, en Estrie et dans le Bas-Saint-Laurent que la plus forte proportion de patients sont décédés en recourant à l’AMM : 2 % des décès» alors qu’elle est de 1 % dans les autres régions. (Le Devoir, 12 février 2018).
Comprenons-nous bien ce qui se passe? Y a-t-il lieu de réagir? Le pouvons-nous? Que faire lorsque des chrétiens demandent à la fois les derniers sacrements et l’aide médicale à mourir?
Si vous désirez réfléchir sur ce sujet difficile, vous êtes bienvenus à une rencontre avec Mgr Bertrand Blanchet, archevêque émérite de Rimouski et spécialiste des questions éthiques qui se tiendra à la résidence Desjardins de Saint-André, le samedi 30 novembre prochain à 14 h.
Commentaires
4 commentaires
-
S
Steeve
Il y a 4 ans
Pour ma part, ce n'est pas un sujet difficile car c'est le désir et le choix de la personne mourante. Il n'y a que des avantages, la personne arrête de souffrir et on économise le temps et l'argent de tous. On peut alors s'attarder a ceux qui sont encore récupérable.
0Répondre
-
CREQ
Croyance remise en question
Il y a 4 ans
De quoi se mêle la religion une fois de plus. La religion détruit la religion.
0Répondre
-
YB
Yvon Bureau
Il y a 4 ans
Monsieur Mgr Blanchet, bonjour! J'ai beaucoup de respect pour vous.
0Répondre
-
YB
Yvon Bureau
Il y a 4 ans
(Que faire lorsque des chrétiens demandent à la fois les derniers sacrements et l’aide médicale à mourir?)
0Répondre
AFFICHER PLUSC'est la personne qui décide. Pas les autres.
Parler de statistiques demande beaucoup d'ouverture et d'honnêteté intellectuelle.
Cela exige de nous de toutes les présenter, sur plusieurs mois/années et de comparer les comparables, et cela dans les contextes tant religieux que sociétaux. Hors de cela, on peut leur faire dire n'importe quoi, si moindrement on a un objectif plus ou moins biaisé et caché.
Si Rimouski était plus près, j'irais vous entendre, avec intérêt et plein de respect.
Vous savez , Honorable Personne d'Église, que la dignité passe tellement par le respect du libre-choix de la personne en fin de vie,
Le respect de la liberté de l'autre, spécialement à la fin de SA vie, est tellement une valeur jésusienne.
Les accompagner jusqu' à la fin et permettre des funérailles à l’église, si choisi par la personne.
Quel beau, noble et haut défi pour l’Église!