Table of Contents Table of Contents
Previous Page  12 / 60 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 12 / 60 Next Page
Page Background

Le 28 juin 2017

|

infodimanche

ACTUALITÉ

12

ÉDITEUR : Hugo Levasseur

DIRECTEUR DE PUBLICATION ET DES VENTES :

Martin Morissette

ADJOINTE À LA DIRECTION : Lyne Bérubé

DIRECTEUR DE L’INFORMATION : François Drouin

JOURNALISTES :

Mario Pelletier, rédacteur en chef

Andréanne LeBel • Marc-Antoine Paquin

Hugues Albert

COORDONNATEUR DES PROJETS SPÉCIAUX :

Patrice Picard

CORRECTEUR : Hugo Levasseur

CONSEILLERS EN SOLUTIONS MÉDIAS :

Robert Desjardins • Guy Bouchard • Micheline Côté

Patrice Picard • Michel Courbron • Marie Eve Dubé

Marie-Andrée Pedneault

SECRÉTARIAT :

Nancy Godbout, adjointe administrative, réceptionniste

Marie Eve Dubé, secrétaire aux ventes

PUBLICITÉ NATIONALE (TC MÉDIA) :

Marie Eve Dubé

GRAPHISTES :

Mélanie Emond, coordonnatrice Info Dimanche

Jo-Annie Lagacé, coordonnatrice au commercial

Véronique Sénéchal • Denise Beaulieu

Julie Migneault

IMPRESSION :

TC Imprimeries Transcontinental / Transmag

DISTRIBUTION :

Distributions F. Levasseur

JOURNAL HEBDOMADAIRE

PUBLIÉ LE MERCREDI PAR :

Les Éditions Info Dimanche Inc.

72, rue Fraser

Rivière-du-Loup, G5R 1C6

Téléphone : 418 862-1911

Télécopieur : 418 862-6165

Site :

www.infodimanche.com

Courriel informations :

[email protected]

Courriel journalistes :

[email protected]

Courriel administration :

[email protected]

Le contenu de ce journal ne peut être reproduit sans l’autorisation expresse de la direction.

DÉPÔT LÉGAL

Bibliothèque nationale du Canada 1992

Bibliothèque nationale du Québec 1992

ISSN 1192-1579

Société canadienne des postes

Envois de publications canadiennes

Contrat de vente no 0139858

ABONNEMENT ANNUEL :

115$ au Canada (tx incluses)

320$ aux États-Unis (tx incluses)

T

I

R

A

G

E

C

E

R

T

I

F

I

É

H

E

B

D

O

S

Q

U

É

B

E

C

I

N

C

.

31 420 copies

Suite à l’échouement du traversier, nous tenons à

partager quelques constatations avec la popula-

tion et avec les autorités concernées.

Cette interruption de service a vite démontré

la nécessité du traversier pour assurer les activi-

tés très diversifiées de notre vie courante : trans-

port de personnes, de véhicules, de camions,

d’essence et de toutes les marchandises néces-

saires au quotidien. En tant qu’insulaires, nous

sommes confrontés à toutes sortes d’imprévus et

ce bris fait partie des éventualités que nous

acceptons d’emblée. Il n’y avait donc pas de crise

mais une situation imprévue à laquelle nous

avons dû faire face.

Immédiatement après l’incident, les membres

du personnel de la Société Inter-Rives et ceux de

la Société des traversiers du Québec (STQ) ont

tout mis en œuvre pour minimiser les effets de

cette interruption de service. On a rapidement

communiqué avec les détenteurs de réservations

et une liste fut établie selon l’ordre chronologi-

que des entrées de réservation tant pour les pas-

sagers que pour les véhicules pour lesquels une

autorisation restreinte de sortie avait été accor-

dée par Transports Canada.

Dès le lendemain des recherches pour trouver

une barge adaptée à nos conditions de naviga-

tion et d’accostage étaient entamées et le soir

même, une embarcation de type zodiac était en

service pour le transport des personnes et celles-

ci ont pu compter sur le soutien bienveillant de

l’équipage pour assurer leur confort et minimiser

les inconvénients du transport de bagages.

Certains insulaires ont cédé leur place au profit

de visiteurs, fort nombreux en cette fin de

semaine de congé.

Dans les jours qui ont suivi, un service de prêt

de voitures fut mis à la disposition des insulaires

afin de leur permettre de se déplacer sur la terre

ferme pour se rendre à leurs rendez-vous ou sim-

plement faire des emplettes. Un service de

navette a aussi été mis en place sur l’Île pour que

les personnes sans moyen de transport puissent

se rendre à leur destination. Après de nombreux

contacts, une barge fut mise en service. Un

bateau passager couvert nous est aussi arrivé ces

derniers jours. Somme toute, ce qui devait être

fait a été fait. Bravo à toutes ces personnes qui

n’ont pas ménagé leurs efforts pour atténuer les

effets négatifs de la mise hors service du traver-

sier. Le traversier est revenu en fonction le 17 juin

à 8 h après 28 jours d’inactivité. Ce délai peut

paraitre long mais compte tenu de la complexité

des réparations à être effectuées et de la bonne

collaboration entre la STQ et le chantier maritime

Océans de l’Île-aux-Coudres, tout s’est déroulé

promptement.

Dans l’ensemble, la très grande majorité des

usagers ont été satisfaits des mesures palliatives

rapidement mises en place. Aucun citoyen dans

le besoin n’a été lésé, car l’approche était de

gérer selon les priorités établies de concert avec

la Municipalité.

Rappelons que nous avons été informés que

la STQ, bien au fait de ce contexte particulier,

compte revoir son plan de mesures relatives au

service de remplacement lors de situations

imprévues, telles que celles qui ont été vécues ce

printemps. De plus, à la suite d’une rencontre

avec M. Jean D’Amour, ministre délégué aux

Affaires maritimes, qui a eu lieu à Québec le 15

juin dernier, il a été convenu qu’un comité, com-

posé de représentants de la STQ, du ministère

des Transports, de la Mobilité durable et de

l’Électrification des transports, de la Municipalité

de Notre-Dame-des-Sept-Douleurs, et de la

Société Inter-Rives, serait créé afin d’établir un

plan d’urgence pour faire face à une éventualité

semblable si elle se représentait dans le futur.

Gilbert Delage, président de la CPICIV

Guy Langelier,

président de la Société Inter-Rives

Jean-Paul Deschênes, citoyen

Bernard Gagnon, citoyen

Bilan de l’échouement du NM Peter Fraser

Si pour Marc Bergevin, des Canadiens de

Montréal, la croisée des chemins pour Nathan

Beaulieu était venue? Comment peut-on faire

comprendre à nos élus régionaux que la croisée

de nos chemins est venue aussi? Je ne parle pas

de hockey mais bel et bien de la fusion entre

Saint-Antonin, Saint-Modeste, Saint-Arsène,

Cacouna, Notre-Dame-du-Portage et Rivière-du-

Loup. sNous avons une Chambre de commerce

régionale, des équipements sportifs inter-munici-

paux, un service de pompiers partagé (Saint-

Modeste, Notre-Dame-du-Portage qui négocie)

ou à partager (Saint-Antonin) et la Sûreté du

Québec de la MRC. Chacun paye une part de la

facture qui est sur votre compte de taxes

(incluant celle de la MRC).

Les prochaines élections municipales arrivent

très vite et il faudrait en entendre parler pour

le bien commun de tous et pour pouvoir attirer

de nouvelles entreprises. Au lieu de parler

d’une ville centre, on parlerait de la ville

régionale (commerciale, industrielle, institution-

nelle et carrefour routier) de l’est du Québec.

Avec nos 28 211 citoyens (selon la MRC - 2014), qui

se donnent déjà la main pour faire avancer des

projets.

Voilà la vraie force économique qu’aurait ce

nombre de citoyens qui formeraient la nouvelle

ville. Présentement nous avons chacun nos for-

ces, qui sont limitées par le nombre de la popula-

tion, dans chaque municipalité. Posons-nous la

question suivante: si j’étais un investisseur, à quel

endroit j’irais m’installer ? Dans un village ou une

ville à 1000 personnes, à 20 000 personnes, ou

bien dans une ville de 28 211 citoyens et bien

organisée.

Je prédis un avenir prometteur avec cette

fusion.

Daniel Levasseur

Rivière-du-Loup

L’heure est venue...

Même si les gens avaient la possibilité

de téléphoner ailleurs qu’à Saint-Marc-du-Lac-

Long, le fait qu’ils ne pouvaient communiquer

entre eux était déplorable selon la préfète de la

MRC de Témiscouata, Guylaine Sirois. «Ils peu-

vent appeler le 911, mais s’ils ont des problèmes

et qu’ils veulent contacter quelqu’un de leur

famille avant, ils ne peuvent pas le faire», expli-

que-t-elle.

Un technicien désigné de Bell Canada de

Québec a été appelé sur place pour travailler à

rétablir le service. Il a effectué une expertise et a

constaté que plusieurs pièces étaient endomma-

gées et qu’il manquait des morceaux à la sou-

pape de sécurité. Il a dû se rendre à Rivière-du-

Loup pour ramener les pièces manquantes et est

revenu par la suite à Saint-Marc-du-Lac-Long en

soirée.

La réparation s’est avérée plus compliquée

que prévu, puisque l’installation s’est encore plus

endommagée même après avoir été réparée.

Un autre technicien a donc dû venir de Québec

pour amener une pièce manquante durant la

nuit.

Le service téléphonique a finalement repris le

matin du 27 juin vers 8h. Cependant, rien ne

garantit qu’un tel incident ne surviendra pas à

nouveau, étant donné la désuétude de l’équipe-

ment de téléphonie.

La MRC de Témiscouata travaillera donc à

trouver une alternative à ce problème qui nuit à la

sécurité publique.

Durant l’absence de service, les pompiers

et la Sûreté du Québec se sont promenés

partout dans le village pour assurer la

sécurité des résidents malgré tout.

Soulignons qu’un problème semblable est

déjà survenu il y a deux ans à Saint-Marc-du-Lac-

Long

Saint-Marc-du-Lac-Long

privée de son service de téléphonie résidentielle

[email protected]

GENEVIÈVE DESJARDINS

La municipalité de Saint-Marc-du-Lac-Long

dans le Témiscouata a subi un important

problème de téléphonie résidentielle du

dimanche 25 juin au mardi 27 juin. Aucun

appel ne pouvait être reçu et les résidents

ne pouvaient pas s’appeler entre eux.

Notons également que le réseau cellulaire

est très faible, sinon inexistant dans cette

municipalité qui compte environ 420 habi-

tants.

OPINION DU LECTEUR

N.D.L.R. La direction se réserve le droit d’abréger certaines lettres. L’opinion des lecteurs exprimée dans cette page n’engage que leur auteur et ne reflète d’aucune façon la position du journal.