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Le 22 février 2017 | infodimanche ACTUALITÉ 10
Les services d’urgence ont été appelés vers 12
h 35. Selon les informations récoltées sur place,
l’incident est survenu lorsqu’un résident du sec-
teur a souhaité sortir de sa cour privée sans avoir
déneigé adéquatement les vitres de son véhi-
cule. Il a ainsi essayé de s’engager sur la route,
mais il n’a jamais vu la voiture qui s’approchait à
grande vitesse.
En évitant de percuter cette voiture, la con-
ductrice au volant du VUS s’est retrouvée dans la
voie inverse où arrivait également un autre véhi-
cule. C’est en tentant de retrouver la voie de
droite qu’elle a perdu le contrôle et a effectué un
conductrice était seule dans l’habi-
tacle. En état de choc, elle a rapidement été prise
en charge par les paramédics et transportée au
Centre hospitalier du Grand-Portage (CHRGP)
par mesure préventive. Une équipe de la caserne
de Saint-Antonin a également été dépêchée sur
les lieux. La circulation s’effectuait en alternance.
AMENDES
Au moment d’écrire ces lignes, la sergente
Hélène Nepton de la Sûreté du Québec ne pou-
vait pas confirmer si les agents de la paix avaient
remis un constat d’infraction au conducteur fau-
tif.
Selon le Code de la sécurité routière, «con-
duire un véhicule dont le pare-brise et les vitres
ne sont pas libres de toute matière pouvant nuire
à la visibilité du conducteur» est passible d’une
amende pouvant s’élever à 200 $.
Capotage sur la route 185 à Saint-Antonin
UNE VOITURE MAL DÉNEIGÉE SERAIT EN CAUSE
Heureusement, la conductrice n’a pas été gravement blessée.
• MARC-ANTOINE PAQUIN
Une automobiliste d’une vingtaine
d’années a effectué un capotage, ce ven-
dredi 17 février, après avoir évité de jus-
tesse une voiture mal déneigée qui ten-
tait d’emprunter l’autoroute 185.
L’accident est survenu à quelques kilomè-
tres au sud du Grand Arrêt
Irving.
1154170817
Haaaaa, le changement !
Pourquoi sommes-nous si réfractaires aux changements?
Pourquoi dans une société qui demande de l’évolution
et de l’avancement, si des changements sont pour nous
impacter, rentrons-nous aussitôt dans notre coquille
et commençons-nous à paniquer? Pourquoi sommes-
nous incapables au premier abord, de voir le positif qui
résultera du changement? Peut-être est-ce dans la façon
dont c’est présenté…
Du changement, ça se réfléchit!
Avez-vous planifié du changement dans vos entreprises
dans la prochaine année? Si oui, permettez-moi
d’espérer que vous avez réfléchi au potentiel de réussite
de l’implantation de votre changement. Par exemple,
en vous posant des questions telles que : Est-ce le bon
changement pour mon entreprise? Est-ce nécessaire?
Ou encore, qu’y a-t-il de bon pour le destinataire dans
ce changement? Les réponses à ces questions serviront
non seulement à confirmer que vous êtes sur la bonne
voie, mais vous aideront aussi à communiquer les
grandes lignes de vos intentions tout en vous donnant
les arguments sur les bienfaits de cette nouveauté !
En effet, les conditions de réussite sont nombreuses
dans la gestion des changements organisationnels, mais
la base demeure : la communication ! Avez-vous bien
informé les destinataires sur les raisons, les objectifs,
ainsi que l’échéancier prévu pour la réalisation du
changement? Avez-vous pris le temps d’écouter ceux-ci
afin de bien cerner leurs préoccupations ou du moins,
pour identifier s’ils adhèrent ou non au projet?
Afin de mettre toutes les chances de votre côté, assurez-
vous de bien définir et de communiquer clairement
les cibles du projet ; que la vision finale est connue de
même que les résultats attendus ; que les dirigeants
soient convaincus, convaincants et engagés activement
dans le processus et que des outils de communication
sont mis en place spécifiquement pour tenir informées
les personnes impactées par le changement. En
rassemblant ces conditions favorables, vous donnerez
plus de chance de réussite à votre organisation et
démontrerez que vous êtes conscients de l’impact sur
les destinataires.
Car, qu’on le veuille ou non, les destinataires demeurent
la pierre angulaire de la réussite ou de la résistance !
Dans cette perspective, il faut comprendre que la
perception demeure une interprétation de ce qui est vu
et su pour ensuite être interprété comme la réalité, selon
ses besoins, ses attentes, ses valeurs. Une perception
juste donnera des comportements appropriés à la
situation ! Il faut donc être en mesure de rassembler tout
le monde autour de la même vision !
Ça fait beaucoup à tenir compte, mais sachez que les
départements ou les consultants en ressources humaines
sont des perles dans la gestion du changement et qu’ils
peuvent à tout moment vous aiguillez dans le bon sens ;
parce qu’au bout du compte, ce sont des humains avec
qui vous travaillez !
«Si tu fais toujours ce que tu as l’habitude de faire, tu
récolteras ce que tu as toujours récolté.» Albert Einstein
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