Le 28 septembre 2016
|
infodimanche
ACTUALITÉ
12
ÉDITEUR : Hugo Levasseur
DIRECTEUR DE PUBLICATION ET DES VENTES :
Martin Morissette
ADJOINTE À LA DIRECTION : Lyne Bérubé
DIRECTEUR DE L’INFORMATION : François Drouin
JOURNALISTES :
Mario Pelletier, rédacteur en chef
Andréanne LeBel • Marc-Antoine Paquin
Hugues Albert • Cathy Gagnon • Marc Larouche
COORDONNATEUR DES PROJETS SPÉCIAUX :
Patrice Picard
CORRECTEUR : Hugo Levasseur
CONSEILLERS EN SOLUTIONS MÉDIAS :
Robert Desjardins • Guy Bouchard • Micheline Côté
Patrice Picard • Michel Courbron • Marie Eve Dubé
Louis-Martin Hénault
SECRÉTARIAT :
Nancy Godbout, adjointe administrative, réceptionniste
Marie Eve Dubé, secrétaire aux ventes
PUBLICITÉ NATIONALE (TC MÉDIA) :
Marie Eve Dubé
GRAPHISTES :
Mélanie Emond, coordonnatrice Info Dimanche
Julie Aubut, coordonnatrice
infodimanche.comJo-Annie Lagacé, coordonnatrice au commercial
Denise Beaulieu • Julie Migneault • Véronique
Sénéchal
IMPRESSION :
TC Imprimeries Transcontinental / Transmag
DISTRIBUTION :
Distributions F. Levasseur
JOURNAL HEBDOMADAIRE
PUBLIÉ LE MERCREDI PAR :
Les Éditions Info Dimanche Inc.
72, rue Fraser
Rivière-du-Loup, G5R 1C6
Téléphone : 418 862-1911
Télécopieur : 418 862-6165
Site :
www.infodimanche.comCourriel informations :
[email protected]Courriel journalistes :
[email protected]Courriel administration :
[email protected]Le contenu de ce journal ne peut être reproduit sans l’autorisation expresse de la direction.
DÉPÔT LÉGAL
Bibliothèque nationale du Canada 1992
Bibliothèque nationale du Québec 1992
ISSN 1192-1579
Société canadienne des postes
Envois de publications canadiennes
Contrat de vente no 0139858
ABONNEMENT ANNUEL :
115$ au Canada (tx incluses)
320$ aux États-Unis (tx incluses)
T
I
R
A
G
E
C
E
R
T
I
F
I
É
H
E
B
D
O
S
Q
U
É
B
E
C
I
N
C
.
31 420 copies
Le mercredi 21 septembre 2016, les dirigeants de
la Ville de Rivière-du-Loup et du carrefour mari-
time de Rivière-du-Loup convoquaient les
Louperivois et les Louperivoises à une soirée
d’information en grande pompe dans le journal
Info Dimanche et à la radio. Au lieu de sortir de
cette soirée avec l’eau à la bouche pour ce projet
malgré le cout de 14 168 402 $, j’en suis sorti avec
un arrière-gout.
Premièrement, aucun document disponible
à l’entrée pour suivre la présentation,
je pensais qu’à la Ville de Rivière-du-Loup il y
avait un directeur des communications.
Deuxièmement, le projet présenté était finalisé
qu’à 40% seulement. Et troisièmement, cette
fâcheuse manière de vouloir limite la période de
questions, un manque de politesse pour les gens
dans la salle.
Cependant, je remercie les spécialistes du car-
refour maritime qui ont répondu aux nombreuses
questions de la salle avec gentillesse et en con-
naissance du dossier sans regarder l’heure.
J’aurais aimé les nommer mais je n’ai pas trouvé
leurs noms dans le document sur le site de la Ville
de Rivière-du-Loup.
On devra attendre une autre rencontre pour
avoir l’eau à la bouche…
Daniel Levasseur
Un beau projet, mais...
Cette déclaration a été faite par Michel Sacco,
gestionnaire du Club nautique de Rivière-du-
Loup, au cours de la séance d’information de la
Ville de Rivière-du-Loup lors de la soirée d’infor-
mation relative au projet du Carrefour maritime…
Seul hic au tableau, le fédéral refuse, alléguant
que la présence de plaisanciers est inconciliable
avec les activités portuaires industrielles du port.
Hé bien, je n’avais pas vu qu’il y a de l’activité
portuaire industrielle à Gros Cacouna, et vous?
Bon. Ainsi, lors de cette séance d’information,
on nous a appris que pour être attractive et com-
pétitrice, la marina doit subir une cure de jou-
vence, incluant son dragage… Une technique est
actuellement à l’étude, soit le pompage de la
vase contenue dans la marina et son déverse-
ment 300 mètres au large dans le fleuve. On
pomperait deux mètres de vase sur toute la sur-
face occupée par la marina… Cette opération
durerait de deux à trois mois, chaque année. Avec
le traversier, Rivière-du-Loup devrait bien figurer
au palmarès du « dompage » de vase polluante
dans notre décharge, oups… j’aurais dû écrire
notre fleuve. Bravo, vraiment, bravo!
Actuellement, le fédéral tente de se départir
de certains ports, dont Gros Cacouna. Je ne sais
pas si beaucoup de monde pense comme moi,
mais le momentum ne serait-il pas tout indiqué
pour que le gouvernement du Québec fasse
l’acquisition de ce port et y trouve, avec les acti-
vités maritimes que l’on trouvent actuellement à
Rivière-du-Loup, une utilisation respectueuse de
notre environnement au lieu d’avoir des plans
pour accroitre la pollution déjà sérieuse, causée
par le dragage pour les fins du traversier, et ce ad
vitam ad aeternam?
Pour ceux et celles qui sont d’accord avec
mon propos, vous trouverez ici les adresses pour
faire pression sur les acteurs qui peuvent mettre
en commun leurs efforts pour éviter qu’un inves-
tissement majeur à la Pointe de Rivière-du-Loup
ne conduise au déversement pour des décennies
de tonnes de vase polluante dans notre fleuve et
que, en même temps, on nous demande de met-
tre nos déchets composables dans un petit bac
brun…:
Bernard Généreux, notre député fédéral
:[email protected]Jean D’Amour, député provincial et ministre :
[email protected]Gaétan Gamache, maire de Rivière-du-Loup :
[email protected]Ghislaine Daris, mairesse de Cacouna : muni-
[email protected]Marc Garneau, ministre fédéral responsable
des transports :
https://mgarneau.liberal.ca/con-tactez-nous/
Cela dit, je suis tout à fait d’accord avec des
améliorations au secteur du quai. Mais avant de
concéder qu’il soit investi 14 millions $ tel que
proposé dans le plan d’aménagement du
Carrefour maritime de Rivière-du-Loup, SVP, élus
municipaux, fédéraux et provincial, faites l’effort
de considérer sérieusement Gros Cacouna pour y
installer la marina, la traverse, etc. Et s’il faut que
cela passe par une fusion Rivière-du-Loup /
Cacouna, tant mieux!
Martin LeBlond
« Gros Cacouna est le site logique pour installer la marina... »
Plus que jamais, un moratoire pour le projet OPTI-
LAB s’impose. «Près de 20 000 personnes ont
signé notre pétition, déposée le jeudi 22 sep-
tembre, à l’Assemblée nationale par le député de
Mercier, Amir Khadir, se réjouit la présidente de
l’APTS, Carolle Dubé.
Pour l’APTS, «c’est un message clair envoyé
au ministre Barrette : son projet de centralisation
des laboratoires va trop vite et se fait sans l’adhé-
sion du personnel.»
Rappelons qu’OPTILAB vise, entre autres, à
transférer la très grande majorité des analyses
effectuées dans les laboratoires des centres hos-
pitaliers vers une poignée d’établissements. « Les
technologistes médicales (TM) que nous repré-
sentons, qui sont au cœur des services de labora-
toire, sont tenues dans le noir depuis l’annonce
du projet, se désole la présidente. Très peu de
détails ont été fournis au personnel technique et
aux médecins spécialistes concernés, qui tra-
vaillent en étroite collaboration avec les TM.»
Selon le syndicat, il y a quelques semaines,
Gaétan Barrette a même traité avec mépris ces
travailleuses en laboratoire, les qualifiant de
«sous-groupe qui se protège». «Non, M. Barrette,
nous protégeons la qualité des services à la
population. A l’heure actuelle, nous n’avons
aucune garantie que les échantillons qui seront
transportés sur des centaines de kilomètres,
entre Sept-Îles et Chicoutimi par exemple, seront
traités de façon sécuritaire. Plus on déplace des
spécimens sur de longues distances, plus les ris-
ques de pertes d’échantillons et de retards dans
les diagnostics sont élevés. Personne ne devrait
avoir à subir une nouvelle biopsie ou une autre
ponction lombaire», s’enflamme la présidente.
Chaque jour, la demande de moratoire de
l’APTS reçoit de nouveaux appuis.
20 000 personnes disent «non» à OPTILAB par pétition
OPINION DU LECTEUR
N.D.L.R. La direction se réserve le droit d’abréger certaines lettres. L’opinion des lecteurs exprimée dans cette page n’engage que leur auteur et ne reflète d’aucune façon la position du journal.