X
Rechercher
Nous joindre
Publicité

La tension toujours très palpable à Saint-Arsène

durée 10 juillet 2012 | 14h30
  • Saint-Arsène – La salle où se tiennent les assemblées régulières du conseil municipal de Saint-Arsène était remplie à pleine capacité lundi soir avec plus de 40 citoyens qui attendaient le point 25 touchant le dossier brûlant qui oppose Gilbert Dion et son épouse Josée Lavoie à la Municipalité, concernant le prolongement de la rue des Cèdres.

    Tout porte à croire que la partie de bras de fer que se livrent les deux parties n’est pas sur le point de prendre fin, puisque Saint-Arsène tient fermement à poursuivre le projet.

    Le 20 janvier dernier, le ministre de l’Environnement Pierre Arcand délivrait un avis de révocation du certificat d’autorisation qui devait permettre à l’origine à la municipalité de prolonger ses services d’aqueduc et d’égout à l’est de la rue des Cèdres aux fins d’un développement résidentiel. La Municipalité avait 30 jours pour contester cet avis du ministère, à qui elle a envoyé cinq documents, du 3 février au 18 mai, afin d’étayer son argumentaire face à cette décision.

    « De façon préliminaire, la simple énumération des différentes dates importantes dans ce dossier nous permet de démontrer que les motifs à l'appui de l'avis préalable sont, à notre avis, non fondés », avait souligné la Municipalité en février.

    Le directeur régional du ministère, Jean-Marie Dionne, avait expliqué dans une lettre que la Municipalité se devait d’obtenir le consentement de tous les propriétaires visés. « Tel que vous en avez déjà été avisé par lettre le 6 juillet 2011, parmi les documents déposés au soutien de votre demande de certification d’autorisation de l’article 22 de la LQE, datée du 17 juin 2011 et reçue à nos bureaux le 20 juin 2011, il manquait le consentement écrit de tous les propriétaires des lots visés par les travaux, lequel est requis à l’appui de celle-ci… Le MDDEP est d’avis que celle-ci demeure non recevable en l’absence d’un tel consentement. Le MDDEP n’ayant pas reçu le consentement du propriétaire du lot 82-Ptie, la demande de certificat d’autorisation est incomplète. »


    Gilbert Dion et Josée Lavoie écoutaient attentivement les propos émis à la table du conseil lundi soir.
    Photo : Hugues Albert


    « Le 13 novembre 2009, une visite du terrain effectuée par le ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs a révélé que le lieu projeté d’installation de la conduite de l’émissaire pluvial, incluant le reprofilage d’un fossé, est situé dans la tourbière boisée;… Compte tenu de la présence d’une tourbière boisée, les travaux relatifs à l’installation de l’émissaire pluvial ne doivent et ne peuvent pas être réalisés de la manière prévue à l’autorisation délivrée, le 18 juillet 2006, en vertu de l’article 32 de la LQE, modifiée le 25 février 2009 », soutenait le ministère de l’Environnement.

    « Comment, en 2012, le ministre pourrait vouloir révoquer un certificat d'autorisation qu'il a émis en invoquant que la demande qui lui a été présentée comportait de faux renseignements quant à la présence d'une tourbière et d'un marécage alors que les documents du ministère précisant sa position à l'égard des milieux humides n'ont jamais été divulgués, ni à la demande de certificat du 22 décembre 2005, ni même avant sa réception par le ministère, le 4 janvier 2006 », avait répliqué la Municipalité.

    Les autorités municipales avaient indiqué que « l’avis préalable était non fondé puisqu'il s'appuyait sur le non-respect d'une exigence, renseignements concernant un milieu humide, qui n'existait pas au moment de la demande… En résumé, en considérant simplement les dates et les exigences et communications faites par le ministère, il est manifeste que l'avis préalable de révocation était non fondé puisqu'à la date où la demande d'autorisation avait été complétée et reçue, il était en tous points conformes aux directives ou instructions alors communiquées aux demandeurs de certificats d'autorisation. »

    La Municipalité avait rappelé qu’une partie des travaux de construction de la rue et des réseaux d'aqueduc et d'égouts (sanitaire et pluvial) avait déjà été effectuée. 
    La Municipalité avait ajouté que son développement dépendait en partie de ce projet : « La rue des Cèdres était la dernière portion du périmètre urbain construisible. Des démarches sont présentement en cours auprès de la CPTAQ afin de dézoner d'autres terrains de la municipalité mais le périmètre urbain n'étant pas complété, les démarches sont plus longues. »

    Lors de la séance de lundi, le conseil municipal a statué de ne pas aller au tribunal administratif et deux conseillers se disaient d’accord avec l’avis de révocation du ministère.

    Cette saga connaitra-t-elle un jour un dénouement heureux? « S’il nous était possible de vendre ces terrains, nous le ferions. Quand des entrepreneurs arrivent en milieu humide, ils  ramassent leur machinerie et s’en vont. Il n’y a pas d’argent à faire là », indiquait Josée Lavoie, exaspérée de payer des frais légaux avec son mari, en plus de défrayer des coûts importants pour les études de leurs enfants. « Nous nous sentons pris en otage depuis cinq ans! »




    commentairesCommentaires

    22

    • O
      Observateur
      temps Il y a 12 ans
      Me semble que Mme Lavoie joue à la victime... En quoi est-elle attaquée personnellement et qui l'oblige à engager des frais déraisonnables pour protéger cette tourbière boisée située en marge du développement prévu de la rue des Cèdres ? Une fois qu'elle a signalé la présence de cet environnement particulier au ministère, elle n'avait qu'à laisser celui-ci faire sa job non ? En passant, une tourbière boisée est un milieu dont la valeur en matière de développement durable n'est pas vraiment plus grande que les très bonnes terres agricoles qui devront éventuellement être sacrifiée à la place pour accueillir les futurs secteurs domiciliaires de la municipalité. Par ailleurs, ce ministère a déjà accepté à de nombreuses reprises que des milieux de valeur plus importante du point de vue écologique soient développés par des promoteurs en échange de la protection d'un milieu aux caractéristiques équivalentes (politique de compensation. Est-ce que le ministère a montré une ouverture à cet égard ou ne préfère-t-il pas, dans la plus pure tradition de bureaucrates ne cherchant que les problèmes et non les solutions, faire un power trip ?
    • M
      MO
      temps Il y a 12 ans
      Je suis parfaitement en accord avec Observateur. Je crois qu'a un moment le problème est devenue plus d'ordre personnel que d'autre chose.
    • UC
      un citoyen
      temps Il y a 12 ans
      Depuis un an que la municipalité a été avisée par lettre par M. Jean-Marie Dionne qu'il manquait le consentement écrit de tous les propriétaires visés par ce développement le MDDEP n'autorisera jamais le certificat d'autorisation du di-projet. Le ministre Pierre Arcand a délivré un avis de révocation du certificat d'autorisation depuis déjà quelques mois. Le conseil actuel a décidé d'aller plus loin pour faire changer la décision rendue ultérieurement, mais le ministre de l'environnement et M. Dionne du MDDEP maintiennent leur position. Comme contribuable, payeur de taxes, je suis décu de mon maire et de certains conseillers(ères), de leur manque d'écoutes et d'acharnements. M. Roy, lors des élections municipales de 2009, vous nous avez fait croire qu'il n'y avait pas de milieu humide dans le nouveau développement de la rue des Cèdres et qu'en décembre de la même année, tout serait résolu. M. le maire, vous ne nous avez pas dit la vérité pour que l'on vote pour vous. J'espère que vous aurez assez d'ouverture d'esprit et d'humilité cette fois-ci pour laisser tomber ce projet et consacrer votre énergie pour que St-Arsène arrête de végéter et de travailler plutot à faire avancer le projet d'Alexandre Belzile le plus tôt possible pour répondre à la demande des gens qui veulent se construire chez-nous. Un citoyen qui préfère le développement plutot que l'affrontement.
    • LF
      Le fureteur
      temps Il y a 12 ans
      Quelle saga que cette histoire! Je suis sûre d'une chose: je n'habiterai jamais un tel bled où les "powers trips" semblent l'affaire de quelques têtes dures qui donnent l'impression d'avoir des intérêts cachés. Pourquoi se bat-on tant pour le développement d'un petit village qui veut devenir gros comme un boeuf, autour duquel existent à quelques kilomètres des sites aussi plaisants et où les charges sociales sont aussi intéressantes sinon moindres? Certains craignent de perdre leurs terres agricoles; d'autres leurs milieux humides. Pourquoi dès lors grossir? Mais enfin les dirigeants sont-ils conscients qu'ils sont en train de perdre leur âme sinon leur culotte probablement pour leur propre égo. Le seule maître dans toute société réfléchie et raisonnable, ce sont ceux qui la composent. Un référendum ne coûterait pas plus cher que ces tergiversations et redonnerait le pouvoir à ceux qui l'ont prêté aux élus: les citoyens. Allez Messieurs, Mesdames les élus! Réagissez Vos primes de gestionnaires sont beaucoup trop insignifiantes pour que vous fassiez du mauvais théatre sur la place publique.
    • L
      Lecteur
      temps Il y a 12 ans
      Tu portes bien ton nom : Observateur! On voit bien que tu es au courant de rien! tant qu'a sa, écrit dont rien ou écrit ton vrai nom pour qu'on puisse t'appeller et te donner l'heure juste!
    • D
      David
      temps Il y a 12 ans
      Je suis tout à fait d'accord avec Observateur. Le dernier paragraphe retient énormément mon attention puisqu'il contient des propos injustes et non-cohérents. D'abord, il faut comprendre que le maître-oeuvre dans ce type de projet est le promoteur et le maître de l'ouvrage est l'entrepreneur. Le promoteur choisie par sélection directe ou par appel d'offre l'entrepreneur qui exécutera les travaux et avec qui il aura un contrat. Suite à cette étape, l'entrepreneur gagnant a soumissionné un prix en fonction des travaux. Or, si la rue des Cèdres est en terrain humide, le prix de la soumission de l'entrepreneur sera en fonction de ce critère. En somme, l'entrepreneur ne perdra pas d'argent puisqu'il soumissionnera plus cher que dans des milieux conventionnels quitte même à proposer des coûts en régie (à l'heure). Ce sera alors au promoteur de débourser plus de sa poche pour défrayer ces coûts. Rappelons que la ville de Berlin est construite sur des terres humides et cela ne l'a pas empêché d'être une des villes les plus importantes dans le monde! Mon dernier point concerne les études de ses enfants : ce point est tout à fait hors contexte, car la famille Lavoie-Dion n'est pas la seule au Québec à défrayer pour les études de ses enfants. Si vous auriez vendu vos terrains dès le départ, ce qui est mensongère des ses propos puisque visiblement depuis 2005 elle n'a jamais eu la ferme intention de céder 1 p.c. de sa propriété, et bien les études de ses enfants auraient été garanties et les frais juridiques inexistants.
    • RDSA
      Résident de St-Ars
      temps Il y a 12 ans
      Citoyen : Enfin un commentaire intelligent.... Les Terrains de Belzil sont dézoné, ils serotn prêt à construire à la fin de l'automne ou en début de l'année prochaine. Il y a quelqu'un du conseil qui a un intérêt personnel la dedans pour s'acharner la dessus de cette manière. Le terrain de Mr-Mme Lavoie-Dion ne mérite pas de se faire raser. En plus, la rue des Pins s'appel ainsi a cause des Pins qui font de cette rue un magnifique endroit. En voulant continuer cette rue des cèdres, ils devront raser cette forêt de Pins. À quoi bon veulent-ils a tout pris la raser??? Le fureteur : Un référendum!?!?!?!?!?! A part 2-3 membres du conseils qui s'acharnent sur ce dossier, personne ne veut que ce boisé soit rasé...........le point n,est pas là.... On voit aussi que tu ne comprends vraiment rien... St-Arsène ne veut pas grossir à tout prix, c'est la demande qui fait qu'il désire grossir. Plusieurs entrepreneur de construction attendent le GO pour pouvoir construire, les projets qu'ils ont sont presque déjà tous vendu! le monde veule venir s'installer à St-Arsène pour la tranquilité et le bien-être! Il ne veule pas aller en ville mais ici, ils y sont proche. Des activités sportives pleuvent à St-Arsène et le village débordent de nouvelle famille. Fait le tour du village, tu vas t'apercevoir qu'il n'y a pas beaucoup de maison a vendre comparativement à RDL ou les village autour....... Plus de monde et plus de nouvelle maison amène plus de taxe de bienvenu et de taxe municipal, donc plus de revenu et plus de service! Fait des liens, cest la logique!!!!!!! Il ne tienne pas absolument à grossir, c'est la demande qui les poussent à vouloir grossir. Qui a parler de devenir gros comme un boeuf alorsd qu'il ne veule que rajouter une trentaine de terrain! Encore une fois, avant d'écrire ici, assure toi de savoir de quoi tu parles.......... Je mets 20$ que tu viens meme pas de St-Arsène!!
    • D
      Denis
      temps Il y a 12 ans
      Encore une fois la médiocrité d'une vision globale des élus me porte à croire que toutes les municipalitées de mois de 2000 habitants ne devraient pas avoir de conseil municipale, et devraient toutes être fusionné dans une plus grande structure avec des gens plus proféssionnels.
    • M
      Marie
      temps Il y a 12 ans
      @David: Chaque propriétaire de chaque terrain qui devait se vendre par la suite avait un coût à défrayer, chargés par la municipalité, pour effectuer les travaux pour rendre le terrain viable à la construction = somme astronomique et non rentable pour la vente, dû aux conditions du terrain! Arrêtez d'OBSERVER et renseignez vous, dès le départ, le projet est sans queue ni tête, on parle d'un village en entier qui se défend après toutes ces années! Et les élus, au lieu de clore le dossier, remettent le «dossier à l'étude»??? Désolant...ils veulent se battre contre le Ministre, pour la 3e fois? Pire que des enfants...!
    • LF
      Le fureteur
      temps Il y a 12 ans
      @Marie Pire que des enfants? Voyons! Les enfants écoutent eux. Ce sont probablement de "vieux" entêtés qui pensent avoir raison tout en se sentant au-dessus des lois. Avec des enfants, il est possible d'espérer mieux pour l'avenir; avec ces imbus, le pire est à venir à moins qu'ils soient mis à leur place.
    • MLD
      Mathieu Lavoie-Dion
      temps Il y a 12 ans
      Observateur, je vais vous aider à comprendre la situation sous un angle différent, puisque apparemment, votre commentaire me semble être celui d’un gérant d’estrade. Le fameux ‘’milieu humide’’ est en fait un boisé emprunté par une grande partie de la population de St-Arsène depuis des décennies. Un endroit quasi paradisiaque où l’on peut cueillir des fraises, bleuets, framboises, ou tout simplement respirer l’air pur et contempler le paysage. Dès le départ, notre famille a manifesté son intention de protéger ce secteur et la municipalité en a été informée rapidement. Le conseil a l’époque était donc conscient qu’ils faisaient face a un millieu humide puisque nous leur avions signalé la présence d’une tourbière boisée et d’une zone dite ‘’humide’’. Malgré tout, ils ont entamé le projet et nous ont envoyé l’avis l’expropriation le lendemain. Dès le départ notre famille fait face à un manque flagrant de respect et de considération de la part de la municipalité. De plus, la municipalité nous chargeait près de 70 000 $ simplement pour les services d’une rue que nous ne voulions pas. Possibilité de vente ? Il faut avant faire plusieurs metres de remplissage…qui voudrait d’un terrain de 80 000 $ ? il y a des acheteurs ? Personnellement, je crois sincèrement qu’il s’agit en partie d’une vendetta contre Mme Lavoie qui a battu un ami des fameux ‘’conseillers solidaires’’ aux élections au poste de conseillère il y a 7 ans environ. Chose à ne pas faire a St-Arsène : s’opposer aux grosses familles en place qui règnent sur le village depuis toujours. Durant les 5 dernières années, nombreux sont ceux qui ont été témoins des dires du ‘’camp adverse’’ voulant que ceux-ci nous ‘’saignent’’ financièrement jusqu’au dernier sous noir. St-Arsène a devant elle de nombreuses possibilités de développement, mais la rue des Cèdre a été sélectionnée en premier choix dès le départ et les raisons sont, selon mon opinion personnelle, celles que je viens d’évoquer plus haut. Aujourd’hui voila le bilan : Passifs Dépenses liées aux frais d’expertise et d’avocats : 150 000 $ Un conflit social officiel et très lourd pour la municipalité Des augmentations de taxes faramineuses pour les habitants du village seulement (bien sûr les rangs ne paient pas, ils veulent nous ‘’dompter’’ avec notre propre argent) Une vitrine grandissante sur une municipalité où ‘’il ne fait pas bon vivre’’ Actifs Un projet théorique bloqué qui si on devait un jour arriver à le débloquer (ce qui est aujourd’hui une utopie) donnerait un revenu d’un gros maximum de 6 ou 7 maisons. Donc admettons des taxes de 2500 $ nous auront des revenus de 15 000 $ par an. 10 ans pour annuler seulement les frais d’avocat. Projet viable ? Mme Lavoie une victime ? Oui, elle l’est. Parce qu’elle s’oppose a une collusion, une mauvaise gestion de fonds publiques, elle se dresse contre un système municipal qui n’a aucun respect pour le citoyen, pour la propriété privée et, disons le, qui n’a aucun respect pour l’environnement (vous avez déjà vu des conseillers étendre eux-même des excréments humains et déchets toxiques sur une terre agricole ?) Elle s’oppose à tout cela au risque de compromettre la santé de sa famille et de sa propre santé. Qui voudrait porter le flambeau ? Bien sûr, M. Observateur, assis dans votre laz-y-boy loin du feu vous vous permettez de la juger mais je parierais cher que vous vous auriez laissé bafoué. Rares sont ceux qui se tiennent debout aujourd’hui je constate. Vous n'avez même pas le cran de signer votre nom... David, j’aurais craché sur une aide pour mes études si cela avait été de l’argent venant d’une compensation de cette municipalité corrompue. Je préfère me battre afin de pouvoir revenir dans 10 ans montrer a mes enfants le boisé dans lequel j’ai grandit et pour lequel nous nous sommes fièrement battus pour le préserver. Cordialement, Mathieu Lavoie-Dion
    • UC
      une citoyenne
      temps Il y a 12 ans
      toujours la même petite gang des rangées en avant du conseil,,,,toujours là pour chialer et chialer que dire du conseiller richard lebel et de son cousin un va se jetter dans l'eau et l'autre va suivre ,,très désolant de voir cette bataille qui en fini plus,,,,,mr le maire et les conseillers qui sont d'accord ne lâcher pas et continuer votre bon travail et ceux des rangées d'en avant cherche toujours des poux ,,,,,
    • JLRD
      Jimbo le résident de St-Ars
      temps Il y a 12 ans
      À Mathieu je lève mon chapeau! Il a apposé sa signature sur un texte de son cru qui en dit long.... Je ne peux approuver tout se qu'il a écrit au niveau personnel, par contre je ne fait qu'acquiésser ces points : Un endroit quasi paradisiaque où l’on peut cueillir des fraises, bleuets, framboises, ou tout simplement respirer l’air pur et contempler le paysage. - Pour avoir passer ma jeunesse dans ce boisé, je ne vois toujours pas l'intérêt qu'ils ont à continuer cette rue et défaire un ci beau coin......... De plus, la municipalité nous chargeait près de 70 000 $ simplement pour les services d’une rue que nous ne voulions pas - WOW si vraiment c'est le cas, j'en suis tomber de ma chaise.... sa aucun sens..... St-Arsène a devant elle de nombreuses possibilités de développement, mais la rue des Cèdre a été sélectionnée en premier choix - C'est bizarre, ils nous parlent jamais du projet de M.Belzil...? Une vitrine grandissante sur une municipalité où il ne fait pas bon vivre - Les villages autour sont tous tanné d'en entendre parler! Pis je dirais même la majorité du village..... le monde rit de St-Arsène qui s'acharne sur le dossier..... croyez-moi, personne n'est gagnant et ne fait bonne figure dans ce dossier.... donnerait un revenu d’un gros maximum de 6 ou 7 maisons. Donc admettons des taxes de 2500 $ nous auront des revenus de 15 000 $ par an. 10 ans pour annuler seulement les frais d’avocat. Projet viable ? - Pas plus de maison que ca????? LOLLL une mauvaise gestion de fonds publiques - apres sa tout le monde dit qu'on a pas les moyens de dépenser pour un nouveau centre des loisirs et une patinoire couverte, mais on dépense sur un dossier de la sorte..... où est la logique -----Le pire dans tout sa, c'est que je ne sais même pas qui sont les conseillers Pour et qui sont Contre... la semaine je suis à l'extérieur de St-Ars, et je ne fait qu'exprimer se que le monde ont à me compter.... Je suis Décu de la tournure des évènements.... Notre Fierté Arsènoise diminue avec des histoires de la Sorte.........
    • L
      leewis
      temps Il y a 12 ans
      moi j'ai une question pour le monde? est-ce que vous donneriez-vous vos biens (maison ou lot a bois ou terrain) pour des peanut ? je suis sur que non,pour quoi la Famille lavoie le devrait.
    • LF
      Le fureteur
      temps Il y a 12 ans
      Pourquoi l'acharchement d'un individu contre un autre peut être qualifié d'harcèlement et être poursuivi en justice et celle d'une ville ou d'un village contre une famille ne pourrait l'être? Quitte à condamner personnellement les fautifs! Et pourquoi Jean D'Amour dans cette affaire se contente-t-il de se taire quand son Ministre en cause est bafoué dans ses décisions? Opportunisme politique ou parti pris?
    • UAÉ
      Une arsènoise écoeurée
      temps Il y a 12 ans
      Je suis comme plusieurs déçue de voir notre conseil municipal s'acharner autant sur ce projet alors qu'il devrait mettre leur énergie ailleurs. Notre fierté arsènoise en prend tout un coup. Au lieu d'attirer de nouvelles familles il les éloigne. Personne ne veut venir se construire dans un village où il y a de la bisbille.
    • MLD
      Mathieu L-D
      temps Il y a 12 ans
      Bonjour Jimmy, Merci pour ton commentaire, en espérant que ça puisse en influencer certains... Pour répondre a ton interrogation sur le nombre de maisons à construire sur la rue des Cèdres théorique, il est clair qu'au départ le projet emmenait une possibilité d'un vingtaine de maisons, mais comme le certificat d'autorisation demandé était en vertu de l'article 32 de la LQE n'avait pas fait l'objet d'une vérification préalable par un biologiste sur les terrains visés, la question portant sur l'existence d'une zone ''humide'' sur les lots visés a été cochée ''non'' par erreur. Étant donné qu'aujourd'hui le millieu humide et la tourbière boisée ont été identifiés, le ministère ne peut plus autoriser aucun développement résidentiel ''sur'' ou en ''bordure'' de la zone. Ça fait qu'il ne reste qu'une possibilité de 6 ou 7 constructions. Bonne journée !
    • DB
      David Bérubé
      temps Il y a 12 ans
      Bonjour, Ce qui faut principalement retenir, c'est que le projet du prolongement de la rue des Cèdres est zoné blanc, c'est-à-dire apte à être construite au niveau de la législature de la protection du territoire agricole. Il est évident que la municipalité ne met pas ses œufs dans le même panier et pousse sur tous les développements possibles. Le projet d'Alexandre Belzile, est, en ce moment, toujours zôné agricole et les probabilités qu'il devienne blanc sont de plus en plus fortes et je dirais même possible d'ici la fin de l'année. Par contre, il ne faut pas oublier que la CPTAQ a refusé la première demande de dézonage ce qui donne raison à la municipalité de vouloir continuer les démarches pour le prolongement de la rue des Cèdres puisqu'il est à ce jour le seul projet d'envergure possible. Si le projet d'Alexandre Belzile finit par démarrer, peut-être que la municipalité abandonnera ses démarches auprès du prolongement de la rue des Cèdres. Étudiant en génie, je prône le développement, mais enfin de compte, je me sens fatigué de l'impasse qu'il se passe en ce moment et je souhaite de plus en plus qu'il est un dénouement digne. Je crois que la plupart seront de mon avis: peut importe ce qu'il va se passer avec le prolongement de la rues des Cèdres, il faut que sa se règle au plus cr**s.
    • MLD
      Mathieu Lavoie-Dion
      temps Il y a 12 ans
      Bonjour David, La réponse de la CPTAQ à été effectivement négative. Par contre, le refus de dézoner le secteur d'Alexandre Belzile était tant et aussi longtemps que le litige concernant la rue des Cèdres ne prenait pas fin, que ce soit pour un dénouement positif ou négatif à l’égard du projet.
    • RM
      Réal Morin
      temps Il y a 12 ans
      Certaines personnes devraient s'informer avant d'écrire n'importe quoi. Il existe une loi au Ministère d'Environnement qui protège les milieux humides qu'on soit d'accord ou pas. Un conseil qui ne respecte pas la loi met sa municipalité dans le pétrin surtout lorsque des citoyens les a informés pendant quatre ans et une lettre datée de décembre 2007 du Ministère Environnement de la présence d'un milieu humide. Comment des élus peuvent-ils, mois après mois, année après année dépenser environ 150,000$ en frais d'avocat et d'ingénieur ses élus respectent-ils les citoyens. Les citoyens qui continuent à appuyer le maire et son groupe de conseillers dans ce dossier devraient s'informer et consulter celui-ci, ils réaliseraient que ses élus ont jeté leur argent à la poubelle. On aurait économisé environ 150,000 $qui aurait servi de cash pour un centre de loisirs flambant neuf. Réal Morin
    • GD
      Gilbert Dion
      temps Il y a 12 ans
      Bonjour, Je réponds ici à David relativement à son commentaire du 12 juillet. Effectivement, il est important que la Municipalité se développe. Mais, pouvez-vous m'expliquer pourquoi la Municipalité n'a pas voulu informer la CPTAQ, dans le dossier de M. Belzile, en 2009 de la présence d'un milieu humide dans le secteur de la rue des Cedres. Cela aurait évite un refus à cette époque. Dans la nouvelle demande en 2011, la Municipalité de voulait pas encore informer la CPTAQ de ce milieu humide; c'est nous qui l'avons fait avec pour résultat une orientation préliminaire positive de la CPTAQ dans ce même dossier en 2012. Bonne journée
    • T
      tannee
      temps Il y a 12 ans
      on a refuse un gros investissement a chouinard et chouinard cons trustion pourquoi pas dans la bonne gang la fabrique a de beaux terrain a developper ils veulent gagner et ils ne gagnerons pas trop entete lachez pas les dion ils peuvent ouvrir d;autresrues mais ils ne veuleny rien entendre comme s;aurait ete beau le projet des chouinard sur la cote de l;eglise mai9s
    AFFICHER PLUS AFFICHER MOINS
    Publicité

    RECOMMANDÉS POUR VOUS


    Publié à 11h13

    Entrave de la rue de l’Hôtel-de-Ville à compter du lundi 9 juin

    Une portion de la rue de l’Hôtel-de-Ville sera complètement entravée à compter de ce lundi 9 juin, pour quelques jours. Un court détour est à prévoir pour accéder à l’hôtel de ville, notamment. Le chantier permettra d’installer une nouvelle chambre sur la conduite souterraine d’aqueduc. Afin d’assurer la sécurité des travailleurs évoluant dans la ...

    Publié à 6h31

    Assemblée de lancement entre Rivière-du-Loup et Périgueux

    Les citoyens sont invités à une soirée d’information et à l’assemblée de fondation de l’Association Rivière-du-Loup et Périgueux. Celle-ci aura lieu à la salle du conseil de l’hôtel de ville, le mercredi 18 juin prochain, à 19 h. Le maire de la Ville de Rivière-du-Loup, Mario Bastille, souligne «Une fois les chartes d’amitié signées de part et ...

    Publié à 6h00

    Un legs à la jeunesse pour la députée Amélie Dionne 

    Après avoir reçu la confiance des électeurs de sa circonscription en 2022, la nouvelle députée Amélie Dionne avait confié à sa maman qu’elle voulait que son legs politique s’adresse aux enfants, à la «belle jeunesse» du Québec. Plus de deux ans plus tard, l’élue estime être sur le bon chemin avec le récent dépôt du rapport final de la Commission ...