Formation continue: l’UQAR sonde la population du KRTB
Rivière-du-Loup - L’Université du Québec à Rimouski lance un sondage afin de répondre aux plus récents besoins en formation universitaire dans Kamouraska, Rivière-du-Loup, Témiscouata et Les Basques.
En plus du baccalauréat en sciences infirmières à temps complet, l’Université offre des formations en administration, en gestion des ressources humaines, en planification financière et en enseignement de l’anglais langue seconde sur le territoire du KRTB. Plus de 150 étudiants et étudiantes de l’UQAR proviennent du KRTB.
« La mission principale de l’UQAR consiste à répondre aux besoins exprimés sur son territoire. Afin d’être à l’affût en matière de formation, nous invitons la population à répondre à un court sondage qui va nous permettre de bonifier notre offre », explique la directrice du Service de la formation continue, Louise Bolduc.
Le sondage comporte 10 questions et peut être complété en quelques minutes. Il est disponible sur le site www.uqar.ca/formationcontinue. La date limite pour répondre au questionnaire est le 28 février.
« Notre offre de formations est établie en fonction des besoins des milieux. Dès qu’un intérêt pour une formation nous est signifié, nous mettons tout en œuvre afin de combler ce besoin. Nous offrons aussi des formations sur mesure pour des entreprises qui souhaitent rehausser les compétences professionnelles de leurs employés », souligne Mme Bolduc.
L’UQAR a un bureau permanent au Cégep de Rivière-du-Loup depuis une trentaine d’années. Les formations en classe sont d’ailleurs données au Cégep de Rivière-du-Loup. Par ailleurs, certaines formations de l’UQAR sont disponibles en ligne ou à distance dont le baccalauréat en enseignement professionnel.
C’est à l’automne 2011 que l’UQAR a formellement créé son Service de la formation continue afin de donner une impulsion à l’offre de formation sur son territoire. « Par le biais du sondage que nous lançons aujourd’hui, nous voulons prendre le pouls de la population au-delà de nos réseaux de contacts habituels dans le KRTB », conclut Louise Bolduc.