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Témiscouata: Réjean Deschênes pose sa candidature au poste de préfet

durée 30 août 2013 | 09h26
  • Mario Pelletier
    Par Mario Pelletier

    Journaliste

    Saint-Elzéar-de-Témiscouata – Le maire Réjean Deschênes ne sera plus à ce poste après le 3 novembre prochain, date des élections municipales au Québec. M. Deschênes vient d’annoncer qu’il déposera sa candidature pour le poste de préfet de la MRC de Témiscouata. Il pourrait donc succéder à Serge Fortin qui a déjà annoncé ses intentions de ne pas solliciter un nouveau mandat comme préfet.

    Réjean Deschênes est la première personne à indiquer publiquement son intérêt pour le poste de préfet de la MRC de Témiscouata. « Cette décision fait suite à une longue et importante réflexion personnelle débutée ce printemps… Les défis régulièrement rencontrés, malgré une modeste organisation municipale comme celle de Saint-Elzéar-de-Témiscouata, ont contribué à forger ma personnalité politique. Ne bénéficiant pas du poids politique d’une agglomération plus importante, il m’a fallu être combatif et créatif et posséder une foi inébranlable dans les actions entreprises, même si cela prend des années à les voir se  concrétiser », a souligné M. Deschênes.

    « Je désire mettre cette énergie au service de la population du Témiscouata afin de faire cheminer les projets en cours et d’en initier d’autres. En effet, je n’ai pas l’intention de m’asseoir sur les acquis, car je veux travailler en équipe, et avec ardeur, à la création d’un environnement fertile aux développements économique et communautaire. Évidemment, un tel travail ne s’effectue pas seul et commande plutôt la collaboration avec les éluEs, les conseillerEs, les maires, les  mairesses et les députés, sans oublier les organisations régionales telles que le Centre local de développement et la Société d’aide au développement des collectivités », a ajouté le candidat.

    En 1992 à 25 ans, Réjean Deschênes a fait ses débuts en politique municipale à Saint-Elzéar-de-Témiscouata à titre de conseiller municipal. Il a accédé au poste de maire à l’automne 2000, poste pour lequel il a été réélu en 2005 et 2009. « Dans le cadre de mes fonctions de maire, je fais actuellement partie du comité administratif (exécutif) de la MRC. Je siège également sur le comité multi ressources qui s’occupe de la gestion des lots intra-municipaux de la MRC et sur le conseil d’administration du CLD de notre MRC. De plus, j’ai aussi siégé au conseil d’administration du CJE », a-t-il précisé.

    Spécialisé en ornithologie, Réjean Deschênes travaille en Abitibi, depuis 20 ans, pour le département de biologie de l’Université du Québec à Montréal. Ses tâches consistent principalement à assister les étudiants dans leurs projets de maîtrise, de doctorat et de post-doctorat.

     

    commentairesCommentaires

    2

    • UMA
      Un mal administré
      temps Il y a 10 ans
      Pourquoi des préfets?
      Il me semble que nous sommes suffisamment gouvernés?
      Des maires! Des préfets; Des Députés; Des Ministres; un Premier Ministre Des Sénateurs et une Reine, étrangère en plus.
      Tout un investissement pour si peu de résultat.
      Il paraît que les structures administratives les plus efficaces sont généralement les plus simples.
      Il serait grandement temps d'y voir et de réagir pour assainir ce monde de grenouilleurs qui n'ont aucune gêne quand vient le temps de fouiller dans les poches du monde ordinaire.
    • GR
      Gaétan Racine
      temps Il y a 10 ans
      Les éoliennes c'est simplement ridicule, alors qu'au Québec nous avons des surplus d'électricité, qu'on détruit présentement la rivière Romaine dernier joyaux qui était jusqu'à récemment préserver. Ça coûte 700 millions par année au Québeçois alors que ces foutus d'éoliennes ne sont viable que 20 ans en moyenne. On achète à 14.14 cents du kilowatt-heure cet électricité et la revendons à 5,5 cents kilowatt-heure. Mais comme c'est ridicule cette gestion à perte. Et en plus ces terres ou on installe ces énorme moulins à vent ne seront jamais plus utilisables.
      C'est pas ça l'avenir, c'est pas de cette manière que nous ferons un témiscouata responsable pour un futur meilleur. Voir l'article de Jacques Brassard dans le journal du Québec de la semaine passer intitulé MORATOIRE ÇA PRESSE
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