
La paix est une petite chose fragile. Il suffit d’une mouche…
La paix est une petite chose fragile, mais si précieuse! Nous n’avons pas revu la grosse mouche le lendemain. Est-elle morte dans quelque coin, affamée, affolée, blessée peut-être par un de nos coups de tapettes? Si c’est le cas, l’aspirateur lui fera faire un long périple dans son grand boyau, jusqu’à la cuve pleine de poussière et d’autres petits déchets. Triste fin! Mais irai-je jusqu’à m’apitoyer sur le sort d’une mouche?
Pourquoi pas? Chaque être vivant est… vivant. Et quand il meurt, surtout si sa mort est douloureuse, c’est un peu de vie qui disparaît.
Les enfants de la guerre, les victimes de tortures, de viols, de tsunamis, d’avalanches, de glissements de terrains, ceux qui meurent dans les incendies, ou broyés par un poids-lourd, ou qui voient un cancer les ronger pendant des mois —que sont-ils d’autres que des mouches affamées, affolées, blessées? Le grand aspirateur de l’oubli nous tirera tous jusqu’à la cuve infinie du néant…
Quand j’ai envie de m’apitoyer sur le sort d’une mouche, c’est moi-même que je prends en pitié, c’est tous les humains et tous les vivants!
Quelques pensées de Marc-André à propos de… politique?
- La plus grande meurtrière de l’humanité sera toujours la politique qui s’arme d’idéologie.
- Dans la fonction publique, quand on n’a pas de prime, nécessairement, on déprime…
- Les personnes qui se prennent pour Dieu se trompent et ne veulent pas l’admettre.
- Si vous avez à choisir entre un technocrate et un illettré, choisissez l’illettré.
Et pour finir…
…une petite énigme facile, en ces temps d’Olympiques… Au fait, comment avez-vous trouvé la télédiffusion des Olympiques?
Louis-Georges est un coureur de grand fond. Lors de son dernier marathon, dans le dernier kilomètre, il double le deuxième; mais peu après, comme il approche de la ligne d’arrivée, Louis-Georges se fait dépasser par deux autres coureurs.
À quelle place a-t-il terminé ce marathon?