
Je comprends parfaitement que les anciens Grecs aient voué un tel culte aux chiffres : Pythagore, Aristote, Épiménide… Et Archimède (ci-contre), ce grand calculateur.
Les chiffres ont quelque chose de rassurant. Les gouvernements peuvent changer, la terre peut trembler, votre voisin peut déménager, vos cheveux blanchir… deux et deux, ça fait toujours quatre!