Bon, le lancement de mon livre est déjà chose du passé. Désormais LA NUIT ne m’appartient plus : le livre est entre les mains des lecteurs, le livre est en librairie. Qu’il fasse sa carrière, je n’y peux plus rien. Je vous disais il n’y a pas longtemps que la sortie d’un nouveau livre est comme un accouchement… Éh! bien, quand le livre est lancé, il est comme un grand enfant qui a quitté la maison. Je le regarde aller avec tendresse, avec espoir, avec un peu d’inquiétude aussi, bien sûr.
À vous de me dire s’il a sa place dans le grand univers des livres!
Je vous avais laissé une énigme, et vous avais lancé le défi de la résoudre avant le lancement. J’ai gagné! Personne n’a trouvé la réponse. Pourtant elle « avait rapport », comme disent les jeunes. Je vous rappelle la charade :
Mon premier n'aime pas le poisson.
Mon deuxième aime les oiseaux.
Mon troisième aime la paix.
Mon tout permet de montrer ses couleurs.
RÉPONSE : Le ver n’aime pas les poissons (et pour cause !), le nid aime les oiseaux (et c’est réciproque) et le sage aime la paix. Donc : VERNISSAGE, qui est en fait le « lancement » d’une exposition de peinture… qui permet de montrer ses couleurs !
Quant à l’autre énigme, celle qui consistait à identifier sur quel support (AJOUT : que l'excellent photojournaliste :P) François Drouin a posé mon livre avant de le photographier, ma foi ! Elle reste aussi sans réponse. Il faudra que François nous éclaire…
La photo :
Et une vue plus large de « la machine »...
Certaines ont même une pédale !
Info Dimanche en possède trois, dont la plus vieille date de 1903 !
Une idée de cette belle mécanique ?
La réponse (en image) est : ICI
Cela dit, depuis quelque temps, comme vous le savez, je ne renouvelais mon blogue qu’une fois tous les quinze jours. Ça m’a permis de souffler un peu. Mais à compter de maintenant, je me propose de revenir au rythme habituel : un nouveau texte chaque jeudi matin.
Vous n’aurez donc qu’une semaine pour trouver la réponse à celles-ci :
PREMIÈRE :
L’enfant n’a pas atteint mon simple.
Un changement attend l’adulte au passage de mon quintuple.
Il faut un grand vieillard pour toucher mon octuple.
Que suis-je?
DEUXIÈME :
Si l’on m’enlève la tête, je suis un oiseau.
Si l’on m’ôte la queue, je suis un enfant.
Si l’on me coupe en deux, je suis un poumon qui se fait attendre.
Qui suis-je?
TROISIÈME :
Mon tout fait mon début, mon milieu fait rêver et ma fin ne sert qu’à ne rien dire. Avec tout ça, j’ai intérêt à rester propre!
Qui suis-je?