Le dimanche 13 novembre, à 14 heures, à la bibliothèque Françoise-Bédard (67 rue du Rocher, Rivière-du-Loup), je vais lancer un nouveau livre. Un livre sur la nuit.
Est-ce que j’aurai le plaisir, à cette occasion, de vous rencontrer, vous qui me lisez chaque semaine, qui commentez mes billets d’humeur, qui agitez vos neurones pour résoudre mes énigmes, vous que je ne connais pas (sauf quelques-uns)?
Vous voulez savoir à quoi ressemblera mon livre? Physiquement, à ceci :
Vous voulez savoir de quoi parle mon livre? De la nuit. Je ne vous en dis pas plus. Au mieux, je peux reproduire ici les trois extraits qui se trouvent en quatrième de couverture. Les voici :
« La lune est un hamac : je rêve de m’y coucher pour admirer les étoiles et rêver au clair de terre ».
« La nuit, quand le tonnerre éclate, on croirait être à l’intérieur d’un tambour gigantesque, sur lequel un dieu fou de colère tape de toute sa puissance ».
« Je retrouve Mozart dans sa chambrette, alignant les notes de sa Petite musique de nuit à la lueur d’une lampe fumeuse. La lumière ne vient pas de la lampe, mais de Mozart ».
Vous voulez savoir si c’est un gros livre? Non. C’est un petit livre, que vous pourriez lire tout d’un trait en une soirée, mais que vous aimerez peut-être déguster à petites pages (ou à petits pas). Que vous pourrez lire la nuit, ou le jour…
En tout cas l’invitation est lancée. Et si vous êtes branché(e) sur les réseaux sociaux (moi je ne le suis pas), vous pouvez la partager avec vos contacts!
P.S. Je vais vous dire un secret d’écrivain. Quand je lance un nouveau livre, c’est toujours pareil : c’est comme une délivrance, j’oserais dire un accouchement. Ce livre, LA NUIT, c’est mon… je ne sais plus. Mon treizième? Mon quinzième? En tout cas ça commence à me faire une bonne famille! Mais vous savez ce que c’est : le petit dernier, c’est toujours le plus beau, le plus fin. On voudrait le montrer à tout le monde. C’est pour ça qu’il y a des lancements. Comme anciennement, quand toute la paroisse était invitée à venir voir le petit dernier, à boire une coupe et à grignoter en jasant avec l’heureux papa!
P.P.S. Ah! oui, mon énigme des dernières semaines… Pour une fois, elle a réussi à vous résister! Je vous la rappelle ici et je vous donne la réponse.
J’ai une jumelle que je ne pourrai jamais voir. C’est triste. Nous avons le même âge, évidemment, mais aussi la même taille exactement. Si elle a un œil, j’en ai un. Si elle a plusieurs yeux, j’en ai autant. Je le sais, même si je ne pourrai jamais la voir.
C’est triste. Au fait il arrive aussi que toutes les deux nous soyons aveugles… Mais ma jumelle, je ne pourrai jamais la toucher. Pas plus la toucher que la voir. Pourtant quand nous bougeons, nous le faisons toujours ensemble. Quand l’une de nous partira, l’autre partira aussi. C’est comme ça. Qui sommes-nous donc, ma jumelle et moi?
RÉPONSE : les deux côtés d’une porte…