Gabriel Dumont continue avec les Bulldogs pendant le lock-out
Gabriel Dumont a entamé sa troisième saison avec les Bulldogs de Hamilton dans la Ligue américaine de hockey (LAH).
L’athlète de Dégelis a entamé sa troisième saison avec les Bulldogs de Hamilton dans la Ligue américaine de hockey (LAH). Le numéro 40 a vu plusieurs joueurs s’ajouter à l’équipe en provenance de la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ) et des rangs universitaires.
« On est une jeune équipe et on doit apprendre d’une équipe comme eux. On doit bâtir là-dessus, a admis Dumont, vendredi, après un revers des siens contre le Crunch de Syracuse à Montréal. Il y a des hauts et des bas, je dois continuer de travailler et le groupe d’entraineurs m’aide beaucoup pour m’améliorer. »
Ayant terminé la dernière saison dans la LNH, Gabriel Dumont a hâte de voir le lock-out prendre fin et de se faire valoir devant le directeur général Marc Bergevin et l’entraineur-chef Michel Therrien, fraichement arrivés avec l’équipe. Sur la glace, Dumont veut surtout être à son meilleur. « Je me concentre juste à m’améliorer ici et de jouer mon rôle, a-t-il avoué. Il n’y a personne qui sait ce qui va vraiment arriver. »
NOUVELLE IDENTITÉ
Quelques anciens joueurs de la LHJMQ se sont greffés à l’équipe ontarienne et Dumont remarque que l’identité de l’équipe a changé s’il compare à la dernière saison. Tout comme l’état-major des Canadiens, celui des Bulldogs s’est aussi métamorphosé avec l’arrivée de Sylvain Lefebvre et de Donald Dufresne derrière le banc. « Chaque fois qu’il y a un nouvel entraineur, tu apprends des nouvelles choses, a mentionné celui qui a récolté 4 points en 10 parties cette saison. Nous sommes très bien entourés et nous avons de très bons professeurs. C’est de bon augure pour les espoirs de l’organisation. »
Gabriel Dumont a constaté que le niveau de compétition a augmenté dans la LAH avec certains joueurs de la LNH qui évoluent dans les autres équipes. Il veut profiter de la situation afin de continuer sa progression. « Les quatre trios de chaque équipe sont bons, a-t-il conclu. Je pense que la plus grosse différence est la profondeur des équipes et ça parait sur la patinoire. »