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Le 18 octobre 2017

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infodimanche

ACTUALITÉ

12

ÉDITEUR : Hugo Levasseur

DIRECTEUR DE PUBLICATION ET DES VENTES :

Martin Morissette

ADJOINTE À LA DIRECTION : Lyne Bérubé

DIRECTEUR DE L’INFORMATION : François Drouin

JOURNALISTES :

Mario Pelletier, rédacteur en chef

Andréanne LeBel • Marc-Antoine Paquin

Hugues Albert

COORDONNATEUR DES PROJETS SPÉCIAUX :

Patrice Picard

CORRECTEUR : Hugo Levasseur

CONSEILLERS EN SOLUTIONS MÉDIAS :

Robert Desjardins • Guy Bouchard • Micheline Côté

Patrice Picard • Michel Courbron • Marie Eve Dubé

Étienne Morissette

SECRÉTARIAT :

Nancy Godbout, adjointe administrative, réceptionniste

Marie Eve Dubé, secrétaire aux ventes

PUBLICITÉ NATIONALE (TC MÉDIA) :

Marie Eve Dubé

GRAPHISTES :

Mélanie Emond, coordonnatrice Info Dimanche

Jo-Annie Lagacé, coordonnatrice au commercial

Véronique Sénéchal • Denise Beaulieu

Julie Migneault • Marie Blanchet

IMPRESSION :

TC Imprimeries Transcontinental / Transmag

DISTRIBUTION :

Distributions F. Levasseur

JOURNAL HEBDOMADAIRE

PUBLIÉ LE MERCREDI PAR :

Les Éditions Info Dimanche Inc.

72, rue Fraser

Rivière-du-Loup, G5R 1C6

Téléphone : 418 862-1911

Télécopieur : 418 862-6165

Site :

www.infodimanche.com

Courriel informations :

[email protected]

Courriel journalistes :

[email protected]

Courriel administration :

[email protected]

Le contenu de ce journal ne peut être reproduit sans l’autorisation expresse de la direction.

DÉPÔT LÉGAL

Bibliothèque nationale du Canada 1992

Bibliothèque nationale du Québec 1992

ISSN 1192-1579

Société canadienne des postes

Envois de publications canadiennes

Contrat de vente no 0139858

ABONNEMENT ANNUEL :

115$ au Canada (tx incluses)

320$ aux États-Unis (tx incluses)

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31 420 copies

ans

Il s’agit de la plus grande reconnaissance du

Programme d’excellence en eau potable

Traitement (PEXEP-T). Ce prix est décerné pour la

qualité de l’eau potable, et non sur le «gout»,

mais est plutôt basé sur la turbidité de l’eau trai-

tée ainsi que sur les critères d’inactivation des

pathogènes. Cette distinction se traduit par une

eau de qualité 3 fois supérieure aux normes

actuelles des ministères.

Mis sur pied en 2000, le Programme d’excel-

lence en eau potable Traitement (PEXEP-T) est

l’adaptation québécoise du Partnership for Safe

Water de l’American Water Works Association. Il

s’adresse aux organisations disposant d’installa-

tions de traitement de filtration d’eau de surface

désireuses d’améliorer leurs performances et de

protéger la santé publique. Au Québec, 26 muni-

cipalités regroupant 42 stations de traitement

participent au programme.

EAUX USÉES

Outre cette attestation, la Ville a aussi reçu

une mention pour sa participation au programme

d’excellence en eaux usées, le StaRRE (station de

récupération des ressources de l’eau), ayant

atteint à cet égard la phase 2. Pex StaRRE est un

programme d’excellence qui vise une améliora-

tion continue de la qua-

lité des rejets liquides

et des boues d’épura-

tion produits, en pas-

sant en revue les

aspects liés aux équipe-

ments, aux opérations

et à l’administration.

Ce programme a vu le

jour en novembre 2015

avec trois villes pilotes,

soit Rivière-du-Loup,

Sa i n t - Eu s t a c he e t

Victoriaville. Sur la

photo : Serge Cyr, vice-

président environne-

me n t d u R é s e a u

Environnement, Geneviève Pigeon, gestionnaire

du traitement des eaux à la Ville de Rivière-du-

Loup, et Jean Lacroix, PDG de Réseau

Environnement.

De l’eau «5 étoiles» à Rivière-du-Loup

OPINION DU LECTEUR

N.D.L.R. La direction se réserve le droit d’abréger certaines lettres. L’opinion des lecteurs exprimée dans cette page n’engage que leur auteur et ne reflète d’aucune façon la position du journal.

Ce montant s’ajoute au 400 000 $ déjà offert

par le gouvernement provincial tel qu’annoncé en

septembre dernier ainsi qu’à la somme de 100

000 $ issue de la MRC des Basques, de la munici-

palité, de l’entreprise BCK inc, et d’un mécène. La

somme totale du projet s’élève à 648 000 $.

Condamné depuis bon nombre d’années, le cha-

let des loisirs de Saint-Simon avait grandement

besoin de rénovations. Situé dans le parc récréa-

tif, au cœur même de la municipalité sur la route

132, le bâtiment actuel fera finalement l’objet

d’améliorations extérieures, dont le remplace-

ment de la toiture et l’ajout d’une rampe d’accès

pour les personnes à mobilité réduite. À l’inté-

rieur, plusieurs espaces seront aménagés, dont

une salle communautaire pouvant accueillir 150

personnes. Les travaux de rénovation se sont

amorcés il y a près de trois semaines.

Ottawa ajoute 157 000 $

pour la rénovation du chalet des

loisirs de Saint-Simon

PHOTO : MARC-ANTOINE PAQUIN

Dans les derniers jours, j’ai eu l’occasion de voir

divers articles traitant du Comicon de Québec et

la plupart, sinon tous, parlaient des participants

déguisés en différents personnages de la culture

populaire; ce qu’on appelle le cosplay.

Je dois vous admettre que ça me désole un peu

parce qu’un Comicon, c’est plus que des déguise-

ments.

À l’origine, un Comicon c’est une convention

de comics. Le premier a été fondé en 1970 par

Shel Doft et a eu lieu à San Diego. L’événement

s’est ouvert par la suite à une plus large culture

geek et populaire comme le cinéma, les jeux, les

mangas, les séries télés et bien entendu le cos-

play qui est devenu l’emblème médiatique de ces

conventions.

On le sait, la culture geek est de plus en plus

populaire. Maintenant, c’est “cool” d’être geek. Il

fut pourtant une époque où c’était totalement le

contraire! Les conventions ont certainement aidé

à démocratiser cette culture mais depuis un cer-

tain temps, elle la stigmatise sans le savoir par

une couverture médiatique qui s’intéresse seule-

ment au phénomène du cosplay. En se faisant, on

passe souvent sous le silence la raison même de

leur création, les comics! Comprenez-moi bien, je

ne suis en rien contre le cosplay, au contraire, je

crois que c’est une partie de la culture geek qui est

extraordinaire et qui démontre très bien la grande

passion des gens qui pratiquent cet art. Car oui, le

cosplay, c’est un art. Cela demande un énorme

travail de recherche et de conception pour bien

personnifier ces personnages. Il serait intéressant

de bien comprendre le pourquoi du besoin de ces

personnifications au lieu d’en faire de belles pho-

tos vides de sens mais qui sont tellement jolies et

spectaculaires pour parler une fois par année du

Comicon. Le cosplay, comme la culture geek, ce

n’est pas seulement des déguisements!

La culture geek, c’est vaste. Elle est un amal-

game de plusieurs passions mises ensemble pour

créer un collectif qui regroupe des gens passion-

nés. Une convention comme le Comicon sert à

mettre en l’avant plan ces passions et les parta-

ger à monsieur et madame tout le monde. Les

médias, en mettant l’emphase que sur le cosplay,

passent à côté même de la mission du Comicon.

En ne parlant pas des artistes, des bédéistes, des

auteurs, et j’en passe, c’est tout un pan de la cul-

ture qui est laissé dans l’ombre des cosplayers.

Cela a pour effet, dans la population en général,

de réduire la culture geek à seulement des dégui-

sements.

En tant que geek, nous avons un devoir de rec-

tifier le tir et de bien expliquer ce qu’est la culture

geek et à quoi sert un Comicon. Si nous voulons

que cette culture, qui est la nôtre, continue de

s’épanouir et s’ouvrir sur le monde, nous devons

en parler, la présenter, la publiciser. Pas seule-

ment l’une de ses facettes mais bien l’ensemble

qui fait que cette culture soit si passionnante et

populaire!

Marc “The Paper Man” Gagnon, podcasteur

Podcast des Crinqués

Un Comicon c’est plus que des déguisements

[email protected]

FRANÇOIS DROUIN

Le vendredi 13 octobre, le maire de Saint-

Simon flanqué du député néodémocrate

de Rimouski-Neigette - Témiscouata - Les

Basques Guy Caron a confirmé l’octroi par

Ottawa d’une somme de 157 000 $ grâce au

programme d’infrastructure communau-

taire de Canada 150.

[email protected]

MARC-ANTOINE PAQUIN

La Ville de Rivière-du-Loup a vu la qualité

de son eau potable soulignée pour une 2e

année consécutive dans le cadre du

Symposium sur la gestion de l’eau qui s’est

tenu les 11 et 12 octobre à Lévis. Rivière-du-

Loup a gardé son attestation «5 étoiles»

pour la qualité de son eau produite à sa

station d’eau potable durant l’année 2016.