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Le 1 mars 2017 | infodimanche SPORT 60
«À Notre-Dame-de-Pitié, à Québec, quand
j’étais plus jeune, vers l’âge de 13 à 15 ans, mon
voisin avait un petit gymnase et nous mettions
nos gants de boxe. On se réunissait en fin de
journée et on se pratiquait. Ça m’est resté.»
Malgré les années qui ont passé, le travail et
le succès en affaires, la boxe est demeurée pré-
sente dans la vie de Gilles Lortie. «Avec la Cage
aux Sports et mon ami Jean Bédard (Président et
Chef de la direction, Groupe Sportscene inc), j’ai
assisté régulièrement des galas de boxe, j’ai suivi
la carrière d’Érik Lucas et de Lucian Bute.»
Le parallèle que tisse Gilles Lortie du monde
du pugilat et des affaires est l’extrême discipline
qu’il faut déployer pour réussir. Les demi-mesu-
res font rarement les champions. «Ça demande
de la rigueur, de l’efficacité, il y a beaucoup de
liens à faire», lance l’homme d’affaires en riant.
Quant aux Gants de bronze que l’Hôtel
Universel accueillera, il ne s’en cache pas. Le
cachet unique de la salle confère une dimension
qui rappelle celles des casinos de Las Vegas.
«C’est unique, c’est photogénique, j’adore ça.
C’est encore mieux qu’aux Championnats cana-
diens», a renchéri Marie-Claude Poirier de l’EBO
RDL. «On a toute une salle pour les galas de
boxe, cessons de voir petit, ce n’est pas parce
que nous avons une ville de près de 20 000 de
population qu’on ne peut pas voir grand», ajoute
M. Lortie
Un discours qui pourrait bien trouver écho
dans une présentation future, qui sait, des
Championnats canadiens de boxe olympique?
Gilles Lortie le battant
Mathieu Lavoie-Dion et Gilles Lortie.PHOTO :
FRANÇOIS DROUIN
• FRANÇOIS DROUIN
Gilles Lortie est avant tout connu pour ses
talents d’hommes d’affaires, mais l’art du
pugilat ne lui est pas inconnu. Alors qu’il
s’implique directement pour un deuxième
championnat, après les Gants dorés, voici
les Gants de bronze avec Gilles Lortie dans
le coin gauche de l’École de boxe de
Rivière-du-Loup.
L’ancien capitaine de Samuel Côté, qui portait
comme joueur les couleurs du hockey mineur des
Basques, Shany Ouellet, et l’entraineur de
l’équipe bantam B louperivoise, Serge Roy, de
même que tous les représentants des deux grou-
pes étaient présents pour remettre une plaque
commémorative aux parents de Samuel, Patrick
Côté et Julie Lévesque.
RÉSULTATS
La deuxième édition du Tournoi de hockey
Samuel Côté a donc été présentée les 10 et 11
février à L’Isle-Verte, regroupant au total 17 équi-
pes. Dans la classe Compétition, la formation du
capitaine Maxym Cyr de Saint-Fabien a remporté
les grands honneurs. C’est le club d’Olivier
Bourassa de Saint-Antonin qui a gagné en classe
Participation. L’organisation a remercié tous ses
bénévoles ainsi que son commanditaire officiel,
Xmetal/Cotech.
De jeunes hockeyeurs
jouent pour leur ancien compagnon
La remise de la plaque commémorative.
• MARIO PELLETIER
Lors du Tournoi de hockey Samuel Côté de
L’Isle-Verte, de jeunes hockeyeurs ont joué
pour leur ancien compagnon décédé acci-
dentellement. L’organisation a posé un
geste symbolique en organisant une partie
amicale mettant aux prises d’anciens
coéquipiers du jeune garçon de même que
l’équipe Pétro-Canada de Rivière-du-Loup
dont plusieurs joueurs l’ont affronté sur la
glace. Du 6au 12 mars
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