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Le 1 mars 2017

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infodimanche

ACTUALITÉ

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Citoyens de Saint-Arsène, j’ai une honnête inten-

tion de vous expliquer la fierté des ancêtres qui

sont à l’origine de ce bâtiment qu’on nomme

O.T.J. (Centre des loisirs). Le regard sur ce bâti-

ment nous porte à croire à un dérapage de cette

structure par manque d’entretien.

Notre municipalité perd ses acquis petit à

petit : caisse populaire, centre de prévention pour

l’incendie et l’O.T.J., etc… Tout ce qu’on reproche

au Centre des loisirs selon le rapport de la MRC

de Rivière-du-Loup, c’est peu en comparant tous

les jugements faux que l’on véhicule. Ça ne justi-

fie pas une démolition. Vous pourrez le constater

vous-même en vous procurant les documents du

dit centre à la Municipalité de Saint-Arsène.

Notre Centre des loisirs a tout simplement besoin

de rénovations.

Le vécu de ce bâtiment nous rappelle

les réunions ancestrales de chaque famille de

Saint-Arsène pour les baptêmes, mariages,

loisirs, décès, remise de prix et médailles

et différents cours, etc. Je demande donc un

moment de réflexion avant de démolir ce bâti-

ment.

Pourquoi la Municipalité met autant de temps

et d’argent pour le parc Mailloux que la plupart

des citoyens ne connaissent pas? Devrait-on pas

rénover l’O.T.J. avec ce même montant d’argent?

Voici une solution, je tends la main à Mme

Bérubé pour former deux équipes. Mme Bérubé,

maire, avec son équipe de démolition pour enle-

ver le vieux revêtement extérieur. Je lui fournis :

bottes, casques et marteaux. La deuxième équipe

avec Jean-Claude pour la rénovation. Ensemble

tous, nous réaliserons un des plus beaux projets

dans la meilleure entente.

Pour terminer, j’explique les couts de ce petit

projet : l’équipe 1 avec pause-café et petits

gâteaux et les débris de démolition pour 5 000 $;

l’équipe 2 avec Jean-Claude à environ 600 $ par

fenêtre et revêtement extérieur au choix de 59

cents à deux dollars par pied carré. Je vous invite

tous à faire ce petit calcul loin des millions pour

la rénovation de ce bâtiment.

Jean-Claude Chouinard, Saint-Arsène

ÉDITEUR : Hugo Levasseur

DIRECTEUR DE PUBLICATION ET DES VENTES :

Martin Morissette

ADJOINTE À LA DIRECTION : Lyne Bérubé

DIRECTEUR DE L’INFORMATION : François Drouin

JOURNALISTES :

Mario Pelletier, rédacteur en chef

Andréanne LeBel • Marc-Antoine Paquin

Hugues Albert

COORDONNATEUR DES PROJETS SPÉCIAUX :

Patrice Picard

CORRECTEUR : Hugo Levasseur

CONSEILLERS EN SOLUTIONS MÉDIAS :

Robert Desjardins • Guy Bouchard • Micheline Côté

Patrice Picard • Michel Courbron • Marie Eve Dubé

Marie-Andrée Pedneault

SECRÉTARIAT :

Nancy Godbout, adjointe administrative, réceptionniste

Marie Eve Dubé, secrétaire aux ventes

PUBLICITÉ NATIONALE (TC MÉDIA) :

Marie Eve Dubé

GRAPHISTES :

Mélanie Emond, coordonnatrice Info Dimanche

Julie Aubut, coordonnatrice

infodimanche.com

Jo-Annie Lagacé, coordonnatrice au commercial

Denise Beaulieu • Julie Migneault • Véronique

Sénéchal

IMPRESSION :

TC Imprimeries Transcontinental / Transmag

DISTRIBUTION :

Distributions F. Levasseur

JOURNAL HEBDOMADAIRE

PUBLIÉ LE MERCREDI PAR :

Les Éditions Info Dimanche Inc.

72, rue Fraser

Rivière-du-Loup, G5R 1C6

Téléphone : 418 862-1911

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Courriel journalistes :

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Courriel administration :

[email protected]

Le contenu de ce journal ne peut être reproduit sans l’autorisation expresse de la direction.

DÉPÔT LÉGAL

Bibliothèque nationale du Canada 1992

Bibliothèque nationale du Québec 1992

ISSN 1192-1579

Société canadienne des postes

Envois de publications canadiennes

Contrat de vente no 0139858

ABONNEMENT ANNUEL :

115$ au Canada (tx incluses)

320$ aux États-Unis (tx incluses)

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Je suis un père de famille de quatre enfants et ma

conjointe est infirmière depuis 20 ans. Elle fait

souvent des semaines de neuf jours consécutifs

et malgré cet horaire de fou, on lui impose des

heures supplémentaires. La restructuration du

ministre Barrette oblige les infirmières à se

déplacer pour compléter leur semaine de travail.

Donc, je ne vois plus ma femme. Elle se fait sou-

vent demander par ses patients «Dors-tu ici?».

Parfois, elle se rend au travail même malade

car elle ne veut pas obliger une autre infirmière à

se retrouver face à du temps supplémentaire

obligatoire. Elle se sent coupable. Elle songe des

fois à quitter sa profession en raison de l’aug-

mentation de la surcharge de travail et parce

qu’elle craint les risques d’erreurs médicales.

Quant à moi, je vois que tout ceci ouvre la

porte au privé. Mais si toutes les infirmières pas-

sionnées quittent leur métier, qui nous soignera

lorsque nous serons malades?

Guy Sénéchal, Rivière-du-Loup

Je ne vois plus ma femme

SOS citoyens de la municipalité de Saint-Arsène

Yoann Palacio, illustrateur

SATIRE DE PARTOUT

Selon ce dernier, la construction de murets de

béton afin de mieux définir les entrées des com-

merces est la seule avenue qui pourra être sup-

portée financièrement par la Fromagerie des

Basques et la Municipalité. L’embauche de signa-

leurs professionnels pour contrôler le flot de pié-

tons a également été évoquée pour améliorer la

situation. «Ça fait partie de la solution. Il y aura

aussi un petit travail à faire du côté de l’affichage

pour rediriger les gros véhicules», souligne M.

Leblond.

Selon Miryam Leclerc, porte-parole du minis-

tère des Transports du Québec, plusieurs options

sont toujours envisagées pour améliorer la

circulation dans ce secteur de la route 132,

malgré les prétentions du maire. «On a évoqué

entre autres l’installation de glissières de sécurité

en béton au centre de la chaussée pour empêcher

le virage à gauche, et mieux définir les entrées

et sorties des commerces.» La construction

d’un ilot central s’ajoute aux options de créer

une passerelle surélevée ou un passage sous-

terrain pour les piétons et l’ajout d’un feu de cir-

culation.

Le directeur général de la Municipalité de

Notre-Dame-des-Neiges,

Philippe

Massé,

souligne qu’elle ne prend pas part aux négocia-

tions. «C’est sûr que la situation sur la route 132

cause des inconvénients. On a des plaintes, tout

ce qu’on peut faire, c’est mettre de la pression

pour changer la configuration», explique

M. Massé.

Les échéanciers seront définis lorsqu’une

décision finale sera fixée sur la marche à suivre.

L’objectif est de commencer les travaux le plus

rapidement possible étant donné la demande

pour améliorer la situation dans le secteur.

Circulation

sur la route 132 :

la solution se fait attendre

[email protected]

ANDRÉANNE LEBEL

En vue de la prochaine saison touristique,

plusieurs options sont toujours envisagées

par le ministère des Transports du Québec

pour éviter les congestions sur la route 132

à Notre-Dame-des-Neiges. Le maire de la

Municipalité, André Leblond, déplore

qu’une seule solution proposée par le MTQ

soit à ses yeux «réalisable».

OPINION DU LECTEUR

N.D.L.R. La direction se réserve le droit d’abréger certaines lettres. L’opinion des lecteurs exprimée dans cette page n’engage que leur auteur et ne reflète d’aucune façon la position du journal.