Le 19 octobre 2016
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infodimanche
ACTUALITÉ
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Andréanne LeBel • Marc-Antoine Paquin
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Patrice Picard
CORRECTEUR : Hugo Levasseur
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JOURNAL HEBDOMADAIRE
PUBLIÉ LE MERCREDI PAR :
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DÉPÔT LÉGAL
Bibliothèque nationale du Canada 1992
Bibliothèque nationale du Québec 1992
ISSN 1192-1579
Société canadienne des postes
Envois de publications canadiennes
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115$ au Canada (tx incluses)
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MM. Martin LeBlond et Michel Sacco semblent se
disputer une part de vérité dans la saga du parc
maritime.
Il est vrai que de gros efforts de rejets plus
sains ont été faits en amont, et que d’autres pro-
duits nocifs ont remplacé les anciens, mais le lit
profond du fleuve est composé de l’historique
des dépôts faits au fil des décennies passées. Les
métaux lourds toxiques sont toujours présents,
enfouis au plus profond de cette vase dans
laquelle la drague pénètre, et qui sont remis en
circulation. C’est cela dont parlait M. Leblond.
D’ailleurs, même les carcasses de bélugas récem-
ment morts montrent encore des traces de
métaux lourds. M. Sacco confirme qu’ils sont en
baisse, mais pas nuls.
Concernant le gros handicap du site de la
Pointe pour accueillir une marina, je dirais que de
tous les ports que j’ai fréquenté (Méditerranée,
Caraïbes, Atlantique, Bretagne et lacs divers),
jamais je n’ai eu à jeter l’ancre à cause d’un site
envasé, et à attendre au large en pleine bourras-
que que la marée soit favorable pour entrer dans
un port exempt de vase. Oui, le site de Gros
Cacouna comme escale nautique est préférable,
et il est bien dommage que ce soit des politiciens,
qui sont élus pour nous servir, qui soient le prin-
cipal obstacle au bien être des plaisanciers.
Nombre de grands ports ailleurs dans le
monde partagent leurs espaces avec des grands
navires, surtout que ces derniers sont plutôt rares
à Gros Cacouna. Cela ne contrevient en rien à la
construction d’un projet portuaire à la Pointe, qui
servirait aux autres exploitations touristiques. Il
est trop facile de prétendre que l’autre est de
mauvaise foi et qu’il travestit la vérité, lorsqu’il
présente des arguments que nous ne pouvons
contester.
Gilbert Blachon
Rivière-du-Loup
Escalade sur l’escale nautique
Grâce à la contribution de nombreux partenaires
sous l’égide du Club Richelieu de Rivière-du-
Loup, les jeunes fréquentant les camps de jour
ont reçu des berlingots de lait et des fruits frais
gratuitement pendant toute la saison 2016.
Maître d’œuvre de cette initiative depuis 15
ans déjà, le Club Richelieu profite de la Journée
mondiale de l’alimentation, le 16 octobre, pour
remercier les partenaires qui permettent chaque
année la réalisation de cette distribution, d’une
valeur de 3 000 $. La Caisse populaire Desjardins,
les Chevaliers de Colomb, la Fondation du Foyer
Patro et les Clubs Lions, Optimiste, Rotary et
Richelieu de Rivière-du-Loup ont participé à cette
initiative.
La Ville de Rivière-du-Loup souligne l’impor-
tance de cette initiative qui permet aux jeunes qui
fréquentent les camps de jour d’adopter de sai-
nes habitudes de vie et une bonne alimentation,
ce qui contribue au maintien de la santé.
Le milieu s’implique pour la santé
des jeunes louperivois
OPINION DU LECTEUR
N.D.L.R. La direction se réserve le droit d’abréger certaines lettres. L’opinion des lecteurs exprimée dans cette page n’engage que leur auteur et ne reflète d’aucune façon la position du journal.
Ceux qui souhaitent développer un projet
pourront donc se servir de la plateforme web de
La Ruche, un organisme à but non lucratif, afin
financer l’achat d’une nouvelle machine, l’ajout
d’un nouveau produit à leurs services, ou encore
le démarrage d’une entreprise.
La Ruche tente de contrer l’un des obstacles
majeurs à l’entrepreneuriat, le manque d’argent.
La Chambre de commerce de Rivière-du-Loup
souhaite ainsi mettre en branle une véritable
pépinière d’entreprises, en mettant à contribu-
tion tous les acteurs impliqués dans le finance-
ment en région.
Tous les entrepreneurs du Bas-Saint-Laurent
sont invités à se joindre à ce projet rassembleur.
Une tournée d’information est par ailleurs en
cours dans les MRC de La Mitis et des Basques
pour informer les pôles économiques de ces
régions.
Les projets soumis sur la plateforme web de
La Ruche pour le sociofinancement doivent abso-
lument laisser une empreinte dans leur région,
qu’elle soit communautaire, sportive, culturelle
ou économique. Les entrepreneurs qui en font
partie sont parrainés par d’autres membres de La
Ruche afin d’être soutenus dans cette démarche.
La Ruche peut servir à la fois de financement
de base pour un projet ou une entreprise et être
une étude de marché pour se lancer en affaires.
Elle déploie son réseau à travers le Québec. Avec
les médias sociaux, l’effet d’entrainement est
encore plus important.
Afin d’encourager le financement citoyen, une
échelle de récompenses est prévue pour
chacun des projets. Ils sont tous présentés
par une vidéo sur le site web. Une fois que le
financement est attaché, l’entrepreneur a l’obli-
gation légale de réaliser son projet. Depuis les
débuts de La Ruche, 1,25 M$ a été investi, et 10
800 contributeurs citoyens ont participé aux
campagnes de financement. Le réseau vise l’ins-
tallation de 8 Ruches dans différentes régions de
la province, d’ici 2018-2019.
La Ruche : du sociofinancement
pour les entrepreneurs du Bas-Saint-Laurent
Les entrepreneurs doivent présenter leur projet à une dizaine de gens d’affaires avant d’accéder à
la campagne de sociofinancement en ligne.
•
[email protected]ANDRÉANNE LEBEL
Le site de financement participatif La
Ruche, qui a pris naissance à Québec,
prend de l’expansion et aura bientôt une
cellule pour le Bas-Saint-Laurent. Son lan-
cement est prévu à la fin du mois de
novembre.