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Le 19 octobre 2016

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infodimanche

ACTUALITÉ

12

ÉDITEUR : Hugo Levasseur

DIRECTEUR DE PUBLICATION ET DES VENTES :

Martin Morissette

ADJOINTE À LA DIRECTION : Lyne Bérubé

DIRECTEUR DE L’INFORMATION : François Drouin

JOURNALISTES :

Mario Pelletier, rédacteur en chef

Andréanne LeBel • Marc-Antoine Paquin

Hugues Albert • Cathy Gagnon • Marc Larouche

COORDONNATEUR DES PROJETS SPÉCIAUX :

Patrice Picard

CORRECTEUR : Hugo Levasseur

CONSEILLERS EN SOLUTIONS MÉDIAS :

Robert Desjardins • Guy Bouchard • Micheline Côté

Patrice Picard • Michel Courbron • Marie Eve Dubé

Louis-Martin Hénault

SECRÉTARIAT :

Nancy Godbout, adjointe administrative, réceptionniste

Marie Eve Dubé, secrétaire aux ventes

PUBLICITÉ NATIONALE (TC MÉDIA) :

Marie Eve Dubé

GRAPHISTES :

Mélanie Emond, coordonnatrice Info Dimanche

Julie Aubut, coordonnatrice

infodimanche.com

Jo-Annie Lagacé, coordonnatrice au commercial

Denise Beaulieu • Julie Migneault • Véronique

Sénéchal

IMPRESSION :

TC Imprimeries Transcontinental / Transmag

DISTRIBUTION :

Distributions F. Levasseur

JOURNAL HEBDOMADAIRE

PUBLIÉ LE MERCREDI PAR :

Les Éditions Info Dimanche Inc.

72, rue Fraser

Rivière-du-Loup, G5R 1C6

Téléphone : 418 862-1911

Télécopieur : 418 862-6165

Site :

www.infodimanche.com

Courriel informations :

[email protected]

Courriel journalistes :

[email protected]

Courriel administration :

[email protected]

Le contenu de ce journal ne peut être reproduit sans l’autorisation expresse de la direction.

DÉPÔT LÉGAL

Bibliothèque nationale du Canada 1992

Bibliothèque nationale du Québec 1992

ISSN 1192-1579

Société canadienne des postes

Envois de publications canadiennes

Contrat de vente no 0139858

ABONNEMENT ANNUEL :

115$ au Canada (tx incluses)

320$ aux États-Unis (tx incluses)

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31 420 copies

MM. Martin LeBlond et Michel Sacco semblent se

disputer une part de vérité dans la saga du parc

maritime.

Il est vrai que de gros efforts de rejets plus

sains ont été faits en amont, et que d’autres pro-

duits nocifs ont remplacé les anciens, mais le lit

profond du fleuve est composé de l’historique

des dépôts faits au fil des décennies passées. Les

métaux lourds toxiques sont toujours présents,

enfouis au plus profond de cette vase dans

laquelle la drague pénètre, et qui sont remis en

circulation. C’est cela dont parlait M. Leblond.

D’ailleurs, même les carcasses de bélugas récem-

ment morts montrent encore des traces de

métaux lourds. M. Sacco confirme qu’ils sont en

baisse, mais pas nuls.

Concernant le gros handicap du site de la

Pointe pour accueillir une marina, je dirais que de

tous les ports que j’ai fréquenté (Méditerranée,

Caraïbes, Atlantique, Bretagne et lacs divers),

jamais je n’ai eu à jeter l’ancre à cause d’un site

envasé, et à attendre au large en pleine bourras-

que que la marée soit favorable pour entrer dans

un port exempt de vase. Oui, le site de Gros

Cacouna comme escale nautique est préférable,

et il est bien dommage que ce soit des politiciens,

qui sont élus pour nous servir, qui soient le prin-

cipal obstacle au bien être des plaisanciers.

Nombre de grands ports ailleurs dans le

monde partagent leurs espaces avec des grands

navires, surtout que ces derniers sont plutôt rares

à Gros Cacouna. Cela ne contrevient en rien à la

construction d’un projet portuaire à la Pointe, qui

servirait aux autres exploitations touristiques. Il

est trop facile de prétendre que l’autre est de

mauvaise foi et qu’il travestit la vérité, lorsqu’il

présente des arguments que nous ne pouvons

contester.

Gilbert Blachon

Rivière-du-Loup

Escalade sur l’escale nautique

Grâce à la contribution de nombreux partenaires

sous l’égide du Club Richelieu de Rivière-du-

Loup, les jeunes fréquentant les camps de jour

ont reçu des berlingots de lait et des fruits frais

gratuitement pendant toute la saison 2016.

Maître d’œuvre de cette initiative depuis 15

ans déjà, le Club Richelieu profite de la Journée

mondiale de l’alimentation, le 16 octobre, pour

remercier les partenaires qui permettent chaque

année la réalisation de cette distribution, d’une

valeur de 3 000 $. La Caisse populaire Desjardins,

les Chevaliers de Colomb, la Fondation du Foyer

Patro et les Clubs Lions, Optimiste, Rotary et

Richelieu de Rivière-du-Loup ont participé à cette

initiative.

La Ville de Rivière-du-Loup souligne l’impor-

tance de cette initiative qui permet aux jeunes qui

fréquentent les camps de jour d’adopter de sai-

nes habitudes de vie et une bonne alimentation,

ce qui contribue au maintien de la santé.

Le milieu s’implique pour la santé

des jeunes louperivois

OPINION DU LECTEUR

N.D.L.R. La direction se réserve le droit d’abréger certaines lettres. L’opinion des lecteurs exprimée dans cette page n’engage que leur auteur et ne reflète d’aucune façon la position du journal.

Ceux qui souhaitent développer un projet

pourront donc se servir de la plateforme web de

La Ruche, un organisme à but non lucratif, afin

financer l’achat d’une nouvelle machine, l’ajout

d’un nouveau produit à leurs services, ou encore

le démarrage d’une entreprise.

La Ruche tente de contrer l’un des obstacles

majeurs à l’entrepreneuriat, le manque d’argent.

La Chambre de commerce de Rivière-du-Loup

souhaite ainsi mettre en branle une véritable

pépinière d’entreprises, en mettant à contribu-

tion tous les acteurs impliqués dans le finance-

ment en région.

Tous les entrepreneurs du Bas-Saint-Laurent

sont invités à se joindre à ce projet rassembleur.

Une tournée d’information est par ailleurs en

cours dans les MRC de La Mitis et des Basques

pour informer les pôles économiques de ces

régions.

Les projets soumis sur la plateforme web de

La Ruche pour le sociofinancement doivent abso-

lument laisser une empreinte dans leur région,

qu’elle soit communautaire, sportive, culturelle

ou économique. Les entrepreneurs qui en font

partie sont parrainés par d’autres membres de La

Ruche afin d’être soutenus dans cette démarche.

La Ruche peut servir à la fois de financement

de base pour un projet ou une entreprise et être

une étude de marché pour se lancer en affaires.

Elle déploie son réseau à travers le Québec. Avec

les médias sociaux, l’effet d’entrainement est

encore plus important.

Afin d’encourager le financement citoyen, une

échelle de récompenses est prévue pour

chacun des projets. Ils sont tous présentés

par une vidéo sur le site web. Une fois que le

financement est attaché, l’entrepreneur a l’obli-

gation légale de réaliser son projet. Depuis les

débuts de La Ruche, 1,25 M$ a été investi, et 10

800 contributeurs citoyens ont participé aux

campagnes de financement. Le réseau vise l’ins-

tallation de 8 Ruches dans différentes régions de

la province, d’ici 2018-2019.

La Ruche : du sociofinancement

pour les entrepreneurs du Bas-Saint-Laurent

Les entrepreneurs doivent présenter leur projet à une dizaine de gens d’affaires avant d’accéder à

la campagne de sociofinancement en ligne.

[email protected]

ANDRÉANNE LEBEL

Le site de financement participatif La

Ruche, qui a pris naissance à Québec,

prend de l’expansion et aura bientôt une

cellule pour le Bas-Saint-Laurent. Son lan-

cement est prévu à la fin du mois de

novembre.