JournalID29web

12 / 72

Le 20 juillet 2016 | infodimanche ACTUALITÉ 12
ÉDITEUR : Hugo Levasseur
DIRECTEUR DE PUBLICATION ET DES VENTES :
Martin Morissette
ADJOINTE À LA DIRECTION : Lyne Bérubé
DIRECTEUR DE L’INFORMATION : François Drouin
JOURNALISTES :
Mario Pelletier, rédacteur en chef
Andréanne LeBel • Marc-Antoine Paquin
Hugues Albert • Cathy Gagnon • Marc Larouche
COORDONNATEUR DES PROJETS SPÉCIAUX :
Patrice Picard
CORRECTEUR : Hugo Levasseur
CONSEILLERS EN SOLUTIONS MÉDIAS :
Robert Desjardins • Guy Bouchard • Micheline Côté
Patrice Picard • Michel Courbron • Marie Eve Dubé
Louis-Martin Hénault
SECRÉTARIAT :
Nancy Godbout, adjointe administrative, réceptionniste
Marie Eve Dubé, secrétaire aux ventes
PUBLICITÉ NATIONALE (TC MÉDIA) :
Marie Eve Dubé
GRAPHISTES :
Mélanie Emond, coordonnatrice Info Dimanche
Julie Aubut, coordonnatrice
Jo-Annie Lagacé, coordonnatrice au commercial
Denise Beaulieu • Julie Migneault • Véronique
Sénéchal
IMPRESSION :
TC Imprimeries Transcontinental / Transmag
DISTRIBUTION :
Distributions F. Levasseur
JOURNAL HEBDOMADAIRE
PUBLIÉ LE MERCREDI PAR :
Les Éditions Info Dimanche Inc.
72, rue Fraser
Rivière-du-Loup, G5R 1C6
Téléphone : 418 862-1911
Télécopieur : 418 862-6165
Site :
Courriel informations :
Courriel journalistes :
Courriel administration :
Le contenu de ce journal ne peut être reproduit sans l’autorisation expresse de la direction.
DÉPÔT LÉGAL
Bibliothèque nationale du Canada 1992
Bibliothèque nationale du Québec 1992
ISSN 1192-1579
Société canadienne des postes
Envois de publications canadiennes
Contrat de vente no 0139858
ABONNEMENT ANNUEL :
115$ au Canada (tx incluses)
320$ aux États-Unis (tx incluses)
TI RAG E C E RTIFIÉ
H
EBDOSQUÉBECINC.
31 420 copies
Même si, en ville, le vélo a acquis ses lettres de
noblesse chez les jeunes sportifs, il n’est toujours
pas pris au sérieux chez nos édiles.
S’il vous arrive de suivre un cycliste qui zigza-
gue sur Fraser, côte St-Jacques ou boulevard
Cartier, ou un peu partout en ville, ne téléphonez
pas tout de suite à la police, pensant qu’il y a
alcool au guidon. Non non non, c’est certaine-
ment un cycliste qui ne veut pas briser ses jantes
à cause de ces champs de mines créés par le
dégel, dans l’asphalte et que la Ville néglige de
réparer. Personnellement très chanceux, je n’ai
qu’une chute à mon actif dans une de ces dépres-
sions, il y a deux ans, et qui m’a couté un guidon
et une jante neuve, mais un record à battre de 12
crevaisons en 2015, en cognant dans ces gouf-
fres. J’appelle d’ailleurs le vélo la bi-cinglette :
cogne sur les poignets…et cogne sur le train
arrière. Ça cingle en double.
Les cyclotouristes qui passent par la ville ne
voient rien de notre beau paysage…ils ont les
yeux rivés sur les marmites de géants dans
l’asphalte.
Avez-vous remarqué que la zone réservée
pour les cyclistes, à droite de la ligne blanche, est
également l’endroit où sont placées les bouches
d’égout, et que celles-ci sont pour la plupart trop
profondes, ou tellement dégagées que les arêtes
métalliques en font des couperets fatidiques qui
cisaillent vos pneus ? Mais Fraser a aussi la par-
ticularité d’être en infraction avec les lois, l’une
d’elles, à l’ouest de l’Hydro-Québec, au coin
Grand Voyer et Fraser est orientée dans le sens
de la circulation. Entrez votre roue dans la fente,
et c’est la culbute tête première assurée. Et la
Ville serait totalement responsable.
Difficile, en auto, d’éviter un cycliste qui
tombe inopinément devant nous. Mais les nids
de pélicans dont je vous parle sont inévitables
actuellement…car on ne les voit pas toujours à
cause des ombres, ou du soleil, ou de la pluie, on
est forcés d’y passer si on est en vélo.
«Inévitables».
À Rivière-du-Loup, il y a des zones de détec-
tion afin de déclencher les feux de circulation
intelligents. Bonne idée, au moins quelque chose
d’intelligent dans cette ville. Sauf que cette trou-
vaille ne fonctionne pas si vous êtes un cycliste !
J’ai déjà posé la question à un employé de la Ville
: comment faire alors pour ne pas poireauter 15
minutes à attendre qu’une auto arrive à mes
côtés et déclenche ce feu que ne peut déclencher
un cycliste? Réponse : tu restes à droite, tu des-
cends du vélo, tu actionnes le bouton rouge et tu
passes à pied ! Je vous jure, c’est vrai ! Je vous
laisse en penser ce que vous désirez…je pense
comme vous! Aussi bien faire Hôtel-de-ville à
pied dans ce cas, le vélo à la main !
De toute façon, pour aller tourner à gauche à
partir du couloir réservé aux vélos, il faut passer
par le centre de la rue…et là, bonne chance, car
vous prenez le risque que vos roues soient prises
en otage par les multiples ornières de la largeur
des roues, ornières qui trônent presque partout
en ville au centre des rues. C’est ce qui s’est pro-
duit pour ce pauvre Edward Laporte de Beauport.
Et pour finir, deux clous d’un pouce sont res-
tés apparents plusieurs jours sur la chaussée du
chemin de la pointe, juste avant la tête d’indien.
Les employés de la Ville avaient enlevé un poteau
jaune et noir, mais les clous, eux, étaient restés là,
très dangereux pour les cyclistes ou les rollers.
Bref ! Ça prend des yeux tout le tour de la tête
pour faire de la bi-cinglette à Rivière-du-Loup.
Gilbert Blachon
Rivière-du-Loup
Vélophobie louperivoise
OPINION DU LECTEUR
N.D.L.R. La direction se réserve le droit d’abréger certaines lettres. L’opinion des lecteurs exprimée dans cette page n’engage que leur auteur et ne reflète d’aucune façon la position du journal.
Bien que peu bavard, le Service des communi-
cations a confirmé la nouvelle. « Les deux indivi-
dus ont été arrêtés par la police du CN et la
Sûreté du Québec pour s’être introduits sur la
propriété du CN. Ils ont reçu des constats
d’infraction en vertu de la Loi sur la sécurité ferro-
viaire », a simplement déclaré Pierre-Yves Boivin.
La découverte de voyageurs clandestins n’est pas
exceptionnelle pour le CN, alors que
des gens profitent parfois de la
vitesse ralentie du train en traver-
sant les villages pour y embarquer.
«Nous souhaitons rappeler au public
que l’intrusion sur la propriété ferro-
viaire est dangereuse et illégale », a
conclu la compagnie ferroviaire.
Passagers clandestins arrêtés à Rivière-Bleue
PHOTO : ARCHIVES - FRANÇOIS DROUIN • MARC-ANTOINE PAQUIN
Deux passagers clandestins ont été arrêtés
ce mercredi 13 juillet à Rivière-Bleue alors
qu’ils voyageaient illégalement à bord
d’un train de marchandises du Canadian
National (CN).
Ainsi, en pleine heure de pointe, trois voitures
et une minifourgonnette sont entrées en colli-
sion, dans la voie de droite, au premier feu de cir-
culation en direction nord sur le boulevard
Armand-Thériault.
« Les trois premiers véhicules étaient immobi-
lisés à l’intersection. C’est alors que le quatrième,
une minifourgonnette, n’a pas ralenti et a percuté
la voiture juste devant elle, créant un effet
domino sur les deux autres », a raconté le sergent
Christian Leclerc de la Sûreté du Québec.
Huit personnes auraient été impliquées dans
cet incident. Cinq d’entre elles, victimes de bles-
sures considérées comme mineures, auraient été
prises en charge par les paramédics et transpor-
tées au Centre hospitalier régional du Grand-
Portage (CHRGP). Trois ambulances ont été
dépêchées sur les lieux.
Notons qu’une équipe de pompiers du Service
incendie de Rivière-du-Loup (SSIRDL) s’est égale-
ment rendue sur place. Les sapeurs ont porté
assistance aux ambulanciers, en plus d’étendre
de l’absorbant sur la chaussée.
La circulation a été ralentie dans le secteur le
temps que les services d’urgence fassent leur
travail.
Collision à quatre véhicules à Rivière-du-Loup
PHOTO : MARC-ANTOINE PAQUIN
• MARC-ANTOINE PAQUIN
Une collision impliquant quatre véhicules
a créé un léger carambolage, ce vendredi
15 juillet vers 13 h 05, à l’intersection du
boulevard Armand-Thériault et de la rue
des Marguerites. Cinq personnes auraient
été transportées à l’hôpital pour des bles-
sures mineures.