Table of Contents Table of Contents
Previous Page  14 / 100 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 14 / 100 Next Page
Page Background

Le 15 juin 2016

|

infodimanche

ACTUALITÉ

12

ÉDITEUR : Hugo Levasseur

DIRECTEUR DE PUBLICATION ET DES VENTES :

Martin Morissette

ADJOINTE À LA DIRECTION : Lyne Bérubé

DIRECTEUR DE L’INFORMATION : François Drouin

JOURNALISTES :

Mario Pelletier, rédacteur en chef

Andréanne LeBel • Marc-Antoine Paquin

Hugues Albert • Cathy Gagnon • Marc Larouche

COORDONNATEUR DES PROJETS SPÉCIAUX :

Patrice Picard

CORRECTEUR : Hugo Levasseur

CONSEILLERS EN SOLUTIONS MÉDIAS :

Robert Desjardins • Guy Bouchard • Micheline Côté

Patrice Picard • Michel Courbron • Marie Eve Dubé

Louis-Martin Hénault

SECRÉTARIAT :

Nancy Godbout, adjointe administrative, réceptionniste

Marie Eve Dubé, secrétaire aux ventes

PUBLICITÉ NATIONALE (TC MÉDIA) :

Marie Eve Dubé

GRAPHISTES :

Mélanie Emond, coordonnatrice Info Dimanche

Julie Aubut, coordonnatrice

infodimanche.com

Jo-Annie Lagacé, coordonnatrice au commercial

Magali Dumas • Denise Beaulieu • Julie Migneault

Véronique Sénéchal

IMPRESSION :

TC Imprimeries Transcontinental / Transmag

DISTRIBUTION :

Distributions F. Levasseur

JOURNAL HEBDOMADAIRE

PUBLIÉ LE MERCREDI PAR :

Les Éditions Info Dimanche Inc.

72, rue Fraser

Rivière-du-Loup, G5R 1C6

Téléphone : 418 862-1911

Télécopieur : 418 862-6165

Site :

www.infodimanche.com

Courriel informations :

[email protected]

Courriel journalistes :

[email protected]

Courriel administration :

[email protected]

Le contenu de ce journal ne peut être reproduit sans l’autorisation expresse de la direction.

DÉPÔT LÉGAL

Bibliothèque nationale du Canada 1992

Bibliothèque nationale du Québec 1992

ISSN 1192-1579

Société canadienne des postes

Envois de publications canadiennes

Contrat de vente no 0139858

ABONNEMENT ANNUEL :

115$ au Canada (tx incluses)

320$ aux États-Unis (tx incluses)

T

I

R

A

G

E

C

E

R

T

I

F

I

É

H

E

B

D

O

S

Q

U

É

B

E

C

I

N

C

.

31 420 copies

Me voici à nouveau de retour à Rivière-du-Loup.

En fait, j’y suis pour du travail saisonnier. Je viens

du Saguenay. N’empêche que j’ai toujours aimé le

Bas-Saint-Laurent, que ce soit pour y prendre des

vacances où pour y travailler donc. Mais que vou-

lez-vous j’ai un petit faible pour Rivière-du-Loup.

J’y suis même venu en mars dernier y présen-

ter une conférence-spectacle sur Félix Leclerc à la

bibliothèque Françoise-Bédard. Soit dit en pas-

sant, je m’occupe bénévolement d’un évènement

qui rend hommage à Félix Leclerc et qui a pour

nom la Journée de l’Hymne au printemps.

Pendant la belle saison, j’aime travailler dans le

domaine du tourisme et de l’hôtellerie.

Alors d’où me vient mon attirance pour

Rivière-du-Loup ? Ça remonte à assez loin, soit à

l’époque où je faisais du théâtre de tournée avec

une troupe du Saguenay avec laquelle je venais

régulièrement. Avec mes jeunes acolytes comé-

diens, nous passions parfois deux, trois jours à

Rivière-du-Loup pour y présenter un spectacle

dans différentes écoles.

Ce que j’aimais par dessus-tout, après nos

représentations, c’était d’aller marcher aux

abords de la rue Lafontaine et flâner dans les

petits cafés du centre-ville. De tous les centre-

ville qui m’étaient donnés de voir au cours de nos

tournées de théâtre, dans différentes villes du

Québec, celui de Rivière-du-Loup m’est toujours

apparut être le plus chouette et le plus

accueillant. En 2016 ce constat n’a pas changé à

mes yeux. Que ce soit l’aspect de certaines mai-

sons, les courbes de la rue Lafontaine et sa mon-

tée qui nous mène aux alentours du Cinéma

Princesse, le centre-ville est chaleureux, et

fichtrement bien aménagé. On voit qu’un effort a

été fait, entre autres, afin de bien harmoniser les

petites terrasses des restaurants et bars avec les

trottoirs et la rue. Cette fameuse rue Lafontaine

est donc une des plus belles du Québec selon

moi. Oui, j’ai le béguin pour ce centre-ville.

De plus on retrouve à Rivière-du-Loup, parti-

culièrement dans le secteur de la bibliothèque et

de l’église Saint-Patrice, des maisons ancestrales

remarquables sur le plan architectural.

Et tout ça sans parler évidemment du fleuve

Saint-Laurent qui nous fait l’honneur de sa pré-

sence au bas de la ville et qui nous offre un point

de vue unique avec des couchés de soleil souvent

éblouissants. Alors, vous comprenez mon

engouement!

Yvan Giguère

Mon béguin pour le centre-ville de Rivière-du-Loup

Le 9 avril dernier, j’ai assisté aux funérailles

d’Yvan Labrie à Sainte-Rita. J’ai été grandement

surpris de voir tous ces gens venus pour lui ren-

dre hommage, même si tous n’étaient pas les

bienvenus. J’ai aussi été déçu de voir avec quelle

minutie le spectacle à l’église avait été préparé,

avec la complicité du responsable de la maison

de dieu, pour essayer de dénigrer et culpabiliser

une personne, allant même jusqu’à lui refuser de

lui remettre un signet.

Les temps ont changé… ou je n’ai pas compris,

je croyais qu’une église était un endroit de paix,

de prière, un endroit où l’on devrait parler

d’amour et non de haine, un endroit pour pardon-

ner au lieu d’accuser, bref un endroit

où l’on devrait en ressortir apaisé et non stressé

et humilié.

Si le but visé était de rendre hommage à Yvan,

je crois que l’on a dévié de l’objectif. Si le but était

que les organisateurs de l’évènement se fassent

connaitre, et bien c’est réussi. Il ne faut pas

oublier que si on essaie de lancer des pierres à

quelqu’un dans une foule, on risque d’en blesser

d’autres, et c’est ce qui est arrivé. On a

blessé les enfants du défunt qui garderont pour

longtemps un souvenir amer du service funéraire,

et je ne suis pas certain qu’Yvan était fier

de cela.

Personnellement j’ai aidé Yvan dans son tra-

vail à chaque fois que j’allais chez lui. En aucun

temps je n’ai vu ces sauveteurs improvisés de

dernières minutes, venir l’aider quand il en avait

besoin, ou simplement lui dire bonjour en pas-

sant, et dieu sait qu’ils ont passé souvent près de

chez lui sans arrêter.

Si tout ce qui s’est passé à l’église

ce matin-là est une nouvelle approche qu’on a

trouvé pour essayer de remplir les églises,

et bien avec toute la haine, l’envie et la soif de

vengeance qui a en ce monde, cela pourrait mar-

cher.

Triste et déçu de constater qu’on n’a plus les

églises qu’on avait.

Jean-Claude Perreault

Funérailles d’Yvan Labrie le 9 avril dernier

Le Marché public des Basques est sur le point de

démarrer sa 9e année d’activité. C’est avec une

fébrilité à peine contenue que le conseil d'admi-

nistration entame celle-ci. La métamorphose pro-

fonde du marché accroitra encore davantage sa

popularité.

C'est dans un tout nouvel environnement,

davantage adapté à la clientèle que les expo-

sants accueilleront les visiteurs cette année. En

effet dès le 26 juin, le Marché public occupera le

terrain adjacent à l'ancienne quincaillerie Unimat

de la Coop Agriscar sur la rue Jean-Rioux, aux

abords de la route 132. Les artisans et produc-

teurs agricoles exposants au marché seront ainsi

visibles pour la clientèle touristique et de pas-

sage, via la route 132, tout en demeurant accessi-

bles à la clientèle pistoloise. «Ce déménagement

s'inscrit dans le vent de renouveau qui souffle

actuellement sur le Marché public des Basques.

L'équipe en poste entend poursuivre l'envolée du

marché afin de devenir la référence en matière de

circuit court dans le Bas Saint-Laurent tout en

occupant une place importante dans la vitalité de

la MRC » indique René Cimon, président de

l'organisation. La venue au Marché public, le 24

juillet prochain, d’Elena Faïta, véritable légende

vivante de la gastronomie italienne, première

ambassadrice des produits locaux et marchés

publics au Québec donnera le ton à une série

d’activité qui seront plaire à tout le monde.

CLIENT

En 2016, il est maintenant possible pour les

clients et visiteurs du marché de devenir mem-

bre-ami de l'organisme et ainsi manifester con-

crètement leur soutien au développement du

marché. Comme par les années passées, à cha-

que semaine, un tirage d'un bon d'achat d'une

valeur de 25$ aura lieu parmi les personnes ayant

fait au moins un achat au marché. Si la personne

gagnante est membre-ami du marché, la valeur

du bon d'achat sera doublée.

Notons enfin que c’est dans le cadre d’une

grande fête familiale qu’aura lieue l’ouverture du

marché le 26 juin : jeu gonflable et maquilleuse

seront sur place pour l'occasion. Vous pourrez

également déguster un bon hot-dog allemand ou

végan accompagné de délicieuses frites

belges.

Marché public des Basques : nouveau site, nouvelle image

Le Centre d’archives de la région de Rivière-

du-Loup a reçu 11 nouveaux fonds au cours de la

dernière année et deux expositions ont vu le jour.

Tel est le bilan de la dernière année présenté en

assemblée générale annuelle le 7 juin dernier.

Parmi les fonds, on retrouve ceux de CION-

FM, Gérard Michaud de Cacouna, le Chœur St-

Louis et l’Auberge la Clé des champs

de Saint-Cyprien. On note aussi de nombreux

et importants versements de documents

d’organismes qui ont mis à jour leur fonds

d’archives.

Au niveau de la mise en valeur des fonds,

deux expositions ont vu le jour et sont mainte-

nant permanentes, soit les graduations

des infirmières du cours traditionnel de l’hôpital

St-Joseph et celle du port de mer de

Gros-Cacouna. Le Club des scribes a été fort actif

avec deux lancements (Patrimoine Massé

et les techniques en orthopédie). Le centre

a également participé à divers évènements

dont le Fanfest de la Coupe Telus.

L’assemblée s’est terminée par l’élection de

ses administrateurs. La présidence sera occupée

par Mélanie Girard, la vice-présidence est com-

blée par Mélanie Milot et l’équipe des officiers

est complétée par le secrétaire-trésorier Alphée

Nadeau.

Le Centre d’archives a reçu 11 nouveaux fonds

OPINION DU LECTEUR

N.D.L.R. La direction se réserve le droit d’abréger certaines lettres. L’opinion des lecteurs exprimée dans cette page n’engage que leur auteur et ne reflète d’aucune façon la position du journal.