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La Municipalité de Saint-Simon-de-Rimouski espère un nouvel édifice municipal en 2024 La Municipalité attend présentement une confirmation d’une subvention du ministère des Affaires municipales et de l'Habitation prove- nant du programme d'amélioration et de cons- truction d'infrastructures municipales avant de lancer un appel d’offres. Selon son Plan triennal d’immobilisations, Saint-Simon-de-Rimouski prévoit obtenir un montant de 245 000 $. En 2021, l’ancien maire Richard Caron avait souligné bénéficier d’une somme de 1 M$ provenant du programme Réfection et construction des infrastructures municipa- les. Il estimait la part de la Municipalité à 400 000 $. La dernière estimation du projet s’élève à près de 2,2 M$. Le directeur général de Saint- Simon-de-Rimouski, Stéphane Lacam-Gitareu, a mentionné à Info Dimanche que le projet a été repris de zéro. «Les anciennes données peuvent être considérées comme caduques. En revanche, nous devrions être en mesure de pouvoir présenter un budget préliminaire d’ici un ou deux mois», a-t-il indiqué. ASSURER LA RÉTENTION D’EMPLOYÉS Denis Marcoux espère un début des travaux au printemps 2024 pour une livraison du bâti- ment en automne. Il travaille à ce que le projet soit au moins réalisé dans une période de deux ans, soit avant la fin de son mandat à la mairie. Présentement, les bureaux municipaux se trouvent au sous-sol de la salle Ernest Lepage. Aucune lumière naturelle extérieure n’y entre puisque aucune fenêtre n’y a été aménagée. Pour l’élu, il est impératif d’offrir un meilleur environnement de travail à ses employés. «On a beaucoup de roulement, on aimerait les gar- der plus longtemps», confie-t-il. La caserne actuelle de Saint-Simon-de- Rimouski est fonctionnelle, mais vétuste, indi- que le maire. Aucun nouvel équipement ne peut être ajouté. «Si on veut garder nos pom- piers et s’assurer d’en recruter d’autres, il faut leur donner un environnement sécuritaire et qui leur permet de faire leur travail adéquate- ment», a-t-il partagé Le nouvel édifice permettra donc aux pompiers d’avoir tout le matériel nécessaire à leur travail et aux employés municipaux d’avoir plus d’espace, dont une salle de réunion. Avec une nouvelle caserne, les élus tenteront de s’entendre avec les autres municipalités des Basques afin de créer un ser- vice de sécurité incendie commun pérenne. L’ancienne caserne servira de garage pour la municipalité. Il restera à trouver une nouvelle vocation aux bureaux municipaux actuels. Dans les dernières années, les plans du nouveau bâtiment ont été effectués et l’arpen- tage du terrain, situé sur la route 132 près du centre communautaire, a été réalisé. M. Marcoux espère que les couts de construction n’exploseront pas lors de l’appel d’offres et que les récentes esti- mations tiennent encore. «À ce moment, s’il y a quelque chose qui change de façon significa- tive on va se retourner pour trouver d’autres sources de financements», a-t-il lancé. PAR LYDIA BARNABÉ-ROY > Initiative de journalisme local Le projet de construction d’un édifice muni- cipal prévoyant des bureaux municipaux neufs et une nouvelle caserne incendie à Saint-Simon-de-Rimouski est toujours sur la table à dessin des élus. Le maire, Denis Marcoux, souhaite sa concrétisation au cours de l’année 2024. Esquisse de Daniel Dumont architecte. Saint-Simon-de-Rimouski amorce une réflexion autour de son église Cette démarche a été initiée à la suite de la volonté de l’archevêché à se départir de plu- sieurs de ses lieux de culte coûteux à entretenir pour le nombre de pratiquants actifs, a expliqué le maire, Denis Marcoux. Accompagné de la Fabrique, il a sondé les participants sur le futur qu’ils entrevoyaient pour la bâtisse patrimoniale dans les prochaines années. Il leur a aussi demandé si certains sou- haitaient s’impliquer pour une future conversion du bâtiment. Ainsi, un comité de six personnes a été formé pour penser à l’avenir de l’église. «Alors ils vont étudier les différents projets et les diverses ave- nues», a confié l’élu. Musée, centre multifonc- tionnel, logements abordables, les possibilités sont grandes, avance M. Marcoux. Et le comité pourra lui-même trouver ses propres idées L’église, qui est encore en bonne condition, pourrait aussi être vendue. Cette option n’est pas écartée du lot. «C’est un édifice important pour la communauté. C’est un point de repère physique, géographique, mais aussi historique pour nous. J’aimerais qu’on la garde, mais les citoyens vont décider [autrement]», a souligné Denis Marcoux. Au terme des idées qui seront trouvées par le comité, des rencontres citoyennes auront lieu. Advenant le cas d’un statu quo, le maire estime que la Fabrique pourrait continuer à opérer tout au plus 10 ans, en raison de ses bonnes finances. PAR LYDIA BARNABÉ-ROY > Initiative de journalisme local À l’instar d’autres municipalités de la région du KRTB, Saint-Simon-de-Rimouski a ouvert la discussion au sein de sa commu- nauté relativement à l’avenir de son église. Une cinquantaine de citoyens se sont réunis, le 24 octobre, afin d’amorcer la réflexion. 1151234323 Commandez vos plaques porte-clés en ligne. C’est gratuit! Le Service des plaques porte-clés protège vos clés et finance des programmes essentiels pour les personnes amputées. 514 398-0759 • 1 800 250-3030 amputesdeguerre.ca 1150264423 | INFODIMANCHE Le 1 novembre 2023 • ACTUALITÉ 8 >
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