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Culturellement, les deux dernières décennies ont vu le Centre culturel Berger être rénové, la construction d’une école de musique neuve et des travaux majeurs à la Bibliothèque Françoise- Bédard. Même les parcs ont reçu beaucoup d’amour avec l’aménagement du Parc du Campus-et-de-la-Cité et les investissements récurrents au parc des Chutes et dans les quar- tiers résidentiels. Aujourd’hui, l’offre louperivoise fait l’envie d’autres milieux. Et ce n’est pas d’être chauvins que de l’admettre. Avec le recul, Benoît Ouellet estime avoir travaillé sur un projet majeur tous les 2 ou 3 ans, résultat d’un dynamisme qu’il faut reconnaître et même applaudir. «Ce qui est mesurable, c'est le béton. Mais c'est l'approche de partenariat qui a permis ça, répète-t-il. L'avenir repose d’ailleurs davantage là-dessus.» La réalisation du Stade Premier Tech est un bel exemple de collaboration, croit-il. «Accepter de mettre beaucoup de sous dans un bâtiment qui ne t'appartient pas, pour une Ville, c’est quel- que chose. Il fallait y croire», a mentionné M. Ouellet. «Mais c'est l'ensemble du milieu qui en profite et ça nous distingue. Aujourd’hui, on ne s’en pas- serait plus. Même chose pour la piscine.» Benoît Ouellet ose croire qu’il a contribué à cette façon de voir les choses à Rivière-du-Loup. Il donne toutefois beaucoup de crédit aux gens avec qui il a évolué et aux nombreux élus qui ont écouté ses doléances et ses arguments. Le tra- vail d’équipe a toujours primé. «Mon travail, ç'a été d'amener les discussions à la table du conseil. La Ville devait se positionner et c'était à moi de faire en sorte que l'avis soit favorable. Mais je n’ai rien fait seul», a souligné celui qui n’a pas hésité à «penser autrement» et «faire différem- ment» pour le bien des projets. «Je pense que j'ai touché des cordes sensibles en met- tant les citoyens au cœur des décisions. Quand les élus reconnaissaient que c'était positif pour les jeunes, les familles, que ça nous démar- quait d'ailleurs, les projets étaient priorisés.» Quand il regarde derrière, il vit de la satisfaction. «De la fierté aussi», a-t-il ajouté. «D’avoir fait bouger les choses, d’avoir participé au mieux-être des citoyens et d’avoir côtoyé des personnes incroyables en cours de route.» Pour l’avenir, il croit d’ailleurs qu’il faudra privi- légier l’accompagnement aux infrastructures, même si certains dossiers, comme celui de l’ave- nir des églises, demeurent prioritaires. «L’aspect humain, le bénévolat, le vieillissement de la population, les dynamiques de quartiers, l’offre et l’accessibilité des services pour les jeunes, l’isolement des ainés... Il y a des défis et les pré- occupations sont nombreuses.» Dans tous les cas, la collaboration sera néces- saire. Elle l’est toujours. < SUITE DE LA PAGE 10 Suite au départ de madame Pascale Rioux qui oeuvrait à titre de directrice générale à la Ville de Trois-Pistoles depuis le 30 juin 2014, le Conseil municipal avait entrepris la lourde tâche de recruter une nouvelle ressource pour occuper ce poste clé au sein de l’administration. Ce défi fut relevé avec brio puisque la Ville est fière d’annoncer l’entrée en poste de monsieur Étienne Bergeron en date du 15 mai prochain. Monsieur Bergeron a oeuvré pendant plus de 25 ans à titre de président dans une entreprise de développement et construction résidentiel et commercial au Centre-du-Québec. Il a également été propriétaire et co-propriétaire de différentes entreprises dans le commerce de gros et de détail, de l’hôtellerie ainsi que dans la restauration. Il a également effectué les fonctions de la présidence de l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec (APCHQ) lors d’un mandat de deux ans. Également impliqué sur différents comités de l’APCHQ, de même qu’au sein de l’association régionale des Bois-Francs, monsieur Bergeron a siégé à de nombreux conseils d’administration notamment comme vice-président de l’Association des entrepreneurs en construction du Québec (AECQ) et à titre de membre de la Table de concertation sur l’avenir des centres-villes et leur revalorisation. De plus, il a été administrateur de la Fondation Raymond Roy pendant plus de 5 ans. Depuis les deux dernières années, monsieur Bergeron a occupé le poste de directeur immeubles et projets à la Ville de Fermont en assumant le mandat de création et mise en place d’une direction dédiée à la gestion, à la mise à niveau du parc immobilier de la municipalité ainsi que d’orchestrer l’ensemble des dossiers de développement relevant du bureau de projet pour l’ensemble de la région. Dans ce cadre, il aura sumettre de l’avant ses relations avec les différents ministères, organismes publiques et communautaires ainsi que les clients industriels. Reconnu pour sa capacité d’adaptation, son engagement, son professionnalisme ainsi que son leadership, gageons que monsieur Bergeron saura faire sa place au sein de l’équipe municipale et de la population! DIRECTION GÉNÉRALE À LA VILLE DE TROIS-PISTOLES Crédit photo : Gracieuseté d’Étienne Bergeron Monsieur Étienne Bergeron NOMINATION 1153081923 VISITEZ NOTRE SITE : WWW.LEBOUCANNEUX.COM Ouvert 7 jours/7 Vue imprenable sur le fleuve Situé à la pointe de Rivière-du-Loup près du Traversier Suivez-nous VISITE VIRTUELLE GOOGLE MAP POSTE À COMBLER 1 PLONGEUR Viens te joindre à notre équipe 418 867-4733 Pour permettre à notre personnel de respirer un peu, nous avons réduit les heures d’ouverture. Du lundi au mercredi : 15 h à 21 h • Du jeudi au dimanche : 11 h à 21 h Ouverture le 19 mai Surveillez notre promo d’ouverture dans notre édition du 17 mai. Le 10 mai 2023 < 11 | INFODIMANCHE • ACTUALITÉ