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Le 5 septembre 2018 | infodimanche ACTUALITÉ 16 Le candidat libéral dans la circonscription de Rivière-du-Loup – Témiscouata a même précisé la fin du prochain mandat pour trouver la solu- tion. Il a indiqué qu’un organisme à but non lucra- tif, comme cela s’est fait dans une autre région, pourrait piloter un projet de mise en place. «Ça va couter de l’argent. Il faut d’abord définir les besoins techniques», a expliqué M. D’Amour. Le 31 aout au Parc des Chutes de Rivière-du- Loup, le candidat libéral a également indiqué qu’il voulait créer une équipe d’intervenants dans le comté pour aider au recrutement de main- d’œuvre. «Ils auront notamment comme mandat de faire un inventaire précis des besoins des entreprises», a-t-il souligné. Il considère aussi qu’il faut mettre à profit les écoles de langue pour permettre aux immigrants d’apprendre la langue française. «La CAQ veut diminuer les immigrants, moi je veux les franciser», a commenté le candi- dat du PLQ. À noter que déjà dans chaque MRC, des per- sonnes ont comme tâche d’aider les entreprises dans leurs démarches de recrutement de main- d’œuvre. Deux intervenants viennent d’être ajou- tés au personnel des MRC des Basques et de Témiscouata pour soutenir les entreprises dans leur recherche d’immigrants pour combler leur besoin de main-d’œuvre. Le CLD de la MRC de Rivière-du-Loup a également une ressource à cet effet. Finalement, le député sortant de charge sou- haite organiser pour le printemps prochain un forum économique et social pour sa circonscrip- tion en collaboration avec des partenaires locaux et régionaux. «On a besoin de se donner un nou- veau plan de match», a-t-il lancé. Jean D’Amour s’engage à régler les problèmes de téléphonie cellulaire Jean D’Amour accompagné par sa responsable des communications, Manon Ouellet, et d’un citoyen, Étienne Beauregard. PHOTO : MARIO PELLETIER Entrepris en 2015, le projet de crème glacée bas- que a fait ses preuves au cours des trois dernières années : innovation, qualité du produit, réponse à la demande et création d’une attente chez les consommateurs. Pour prendre son envol, le pro- jet a besoin d’un appui supplémentaire. Le projet de crème glacée basque s’inscrit bien dans le territoire des Basques, un territoire à majorité agricole. Il utilise des matières premiè- res et transformées que l’on retrouve essentielle- ment au Bas-Saint-Laurent : crème fraiche, tire d’érable, petits fruits tels que la camerise, la fraise et l’églantier. Pour rentabiliser le projet, le comité de gestion souhaite élargir sa gamme de produits : beurre, lait, yogourt et envisage même la création d’une laiterie locale telle qu’il en exis- tait autrefois. De tels projets contribuent à l’occu- pation dynamique d’un territoire et s’inscrivent dans le mouvement des circuits courts et de l’agriculture de proximité prônés depuis quelques années. Notre territoire se dynamise, mais nous avons besoin d’outils adaptés à la réalité rurale pour favoriser son développement. En écho à Camille Desmarais, conseiller en développement du territoire et du développe- ment rural, qui a rédigé un article paru dans la Presse le 29 aout dernier, le comité interpelle lui aussi le nouveau gouvernement qui sera élu et questionne ses candidats locaux : «saisirez-vous cette occasion pour vous engager à faciliter le développement rural, nous soutenir dans le développement du projet de crème glacée et pour en assurer sa pérennité ?» Il est possible de suivre l’évolution du projet via la page Facebook du produit à https://www.facebook.com/cremeglaceebasque. Le comité de gestion du projet crème glacée basque interpelle les candidats • mario@infodimanche.com MARIO PELLETIER S’il y a un dossier qui revient à toutes les campagnes électorales depuis plusieurs années, c’est bien celui de la téléphonie cellulaire qui n’est pas accessible dans de nombreux endroits sur le territoire. «On en parle depuis longtemps, je veux que l’on règle ça dans les trois MRC de mon comté», a mentionné Jean D’Amour du Parti libéral du Québec. Les personnes sourdes ou malentendantes peuvent composer sans frais le 1 800 537-0644. Élections provinciales du 1 er octobre 2018 Pour voter, votre nom doit être inscrit sur la liste électorale. Deux façons simples de vérifier votre inscription : • Sur la carte d’information transmise par la poste; • Sur le Web à l’adresse www.elections.quebec/verifiez. Si votre nom n’apparaît pas sur la liste électorale ou si vous voulez modifier votre inscription, présentez-vous à l’adresse indiquée sur votre carte entre le 10 et le 27 septembre. Pour voter au Québec, il faut : 1. Avoir son nom inscrit sur la liste électorale; 2. Avoir 18 ans ou plus le 1 er octobre 2018; 3. Avoir la citoyenneté canadienne; 4. Avoir son domicile au Québec depuis le 1 er avril 2018; 5. Ne pas être sous curatelle ou avoir perdu ses droits électoraux. Tous les votes sont importants. Aux élections provinciales, à vous de voter ! Pour en savoir plus : • www.elections.quebec ; • info @ electionsquebec.qc.ca ; • 1 888 ÉLECTION (1 888 353-2846). 1150293618
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