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Deux compétitions de fatbike à Rivière-du-Loup les 10 et 11 février Le Club cycliste La Meute et l'option vélo du Collège Notre-Dame organisent deux compéti- tions de fatbike à Rivière-du-Loup. La première, sur circuit court de 500 m, se tiendra en un contre un, en soirée, le vendredi 10 février. La deuxième compétition aura lieu le samedi 11 février, dans une formule contre la montre de 7 km. Pour vous inscrire ou pour obtenir davantage de renseignements, vous pouvez rejoindre le 581-673-1267, ou encore visiter le https://clublameute.com . Ainsi, davantage de surdoses enregistrées sur le territoire sont causées par la présence d’opioï- des dans de l’amphétamine, provoquant la dépression du système nerveux central chez des patients atteints. Selon le médecin, cette problé- matique est un risque de santé publique qui affecte la santé mentale. «Ce qui est merveilleux quand on traite la dépendance aux opioïdes, quand on utilise des traitements agonistes pour la traiter que ce soit par la prise d’endorphines ou de méthadone, les conduites antisociales, les comportements antisociaux qu’on retrouve chez ces utilisateurs, disparaissent chez 50 % des gens.» L’IMPORTANCE D’EN PARLER Le 25 janvier dernier a eu lieu la journée «Bell cause pour la cause» pour une 13e année. «Bell a décidé de prendre comme mission la santé mentale. Il faut saluer ça! Ils ont été responsables de l’investissement de plus de 150M$ jusqu’à ce jour en santé mentale directement dans la com- munauté», s’exclame le médecin spécialiste. Ce mouvement fait une différence phénoménale dans la vie des personnes atteintes de troubles mentaux, souligne-t-il. Il permet à la fois aux hôpitaux de mettre la main sur des appa- reils permettant d’aider les patients, comme ça a été le cas pour le CHRGP en 2017 pour l’acquisi- tion d’une machine de stimula- tion magnétique transcrânienne répétée (rTMS), ainsi que de déstigmatiser les problèmes de santé mentale. Selon Dr Jean-François de la Sablonnière, parler de santé mentale à l’aide de personnalités connues du public aident à déconstruite les tabous autour de ces troubles qui touchent 20 % de la population. Concernant la Semaine de la prévention du suicide qui se déroule du 5 au 11 février pour une 33e édition, le psychiatre est sans équivo- que : «Parler du suicide, ça ne cause pas de décès. Parler du suicide, ça ne tue personne. Parler du suicide, des idées suicidaires, de la détresse, ça nous rend juste plus humains, ça nous permet de nous rapprocher de nos vulnéra- bilités et de trouver des solutions». «Lorsqu’on se met la tête dans le sable et qu’on essaie de nier un problème, il nous gruge de l’intérieur. C’est un peu le même prin- cipe qu’avec un boyau d’arrosage: si on essaie de mettre son pouce des- sus, ça fait juste éclabousser davantage. Quand on empêche un mouvement de détresse d’être présent, quand on veut le retenir, quand on ne l’accepte pas, il ne fait que nous éclabousser et faire plus de dommages», image le psy- chiatre. En acceptant sa détresse, sa condition, ses besoins et en parlant de ses problèmes, cela permet d’arrêter d’être seul avec ses idées noires et de commencer à trouver des solutions pour aller mieux. L’idée du suicide, d’après Dr de la Sablonnière, n’est pas dangereuse puisque la psyché indique que quelque chose doit changer. «Ce qui tue, c’est le geste, le comportement. Quand on a un comportement suicidaire, on va chercher une solution permanente à un problème qui est tem- poraire, se désole-t-il. C’est extrêmement grave parce que cette situation permanente, elle, est lourde de conséquences». En effet, un suicide affecte en moyenne 40 personnes, une perte épouvantable pour la communauté qui cause une source de détresse et des problèmes de santé mentale, d’après le médecin. En parler, c’est commencer à remédier à la détresse, commencer à aller mieux. Le reconnai- tre, chercher de l’aide et cultiver la gratitude, la compassion et la bienveillance sont des voies vers lesquelles se tourner afin de guérir des maux qui sévissent dans la société actuelle. PHOTO: ARCHIVES, FRANÇOIS DROUIN < SUITE DE LA PAGE 22 «On n’a pas à se cacher, c’est humain» 1154060623 JEAN-MAXIME MERCIER COURTIER IMMOBILIER RÉSIDENTIEL ET COMMERCIAL AGRÉÉ www.viacapitalevendu.com 63, rue Fraser, Rivière-du-Loup ViaCapitaleHorizon 150, RUE PRINCIPALE DENISE ST-CYPRIEN VENDU TERRAIN CHEMIN DU LAC SUD Terrain d’une superficie de 43 416 p.c. À proximité du Parc du Mont St-Mathieu. DENISE ST-MATHIEU-DE-RIOUX 351-353, RUE NOTRE-DAME OUEST Duplex avec 2 loyers 4 1/2 non-chauffé et non-éclairé. DENISE TROIS-PISTOLES 345, RUE VÉZINA Immeuble commercial offrant beaucoup de potentiel. DENISE TROIS-PISTOLES 40, CHEMIN DE LA GRÈVE LECLERC Propriété 3 saisons avec vue sur le fleuve. DENISE NOTRE-DAME-DES-NEIGES 545, AVENUE PRINCIPALE Centris 15485230 SUZIE DÉGELIS RUE JEANNE-PLOURDE 8 nouveaux terrains avec services munici- paux et rue asphaltée. 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