La main-d'oeuvre au coeur des préoccupations de Denis Tardif
Pour Denis Tardif, toutes les facettes de l'économie locale doivent être stimulées, encouragées: l’innovation, la main-d’œuvre, l'entrepreneuriat, l'économie sociale, l'économie durable et le secteur des services. Le candidat de la CAQ propose trois mesures concrètes afin de stimuler l’économie régionale.
«Je propose de collaborer à mettre en place un plan d’action Main-d’œuvre Ensemble, pour faire du recrutement en commun de main-d’œuvre par nos entreprises et organismes dans les 3 MRC. Un peu comme on a réussi avec les différents intervenants touristiques, à travailler ensemble pour développer le tourisme d’affaires. Les entreprises et organismes de chaque MRC peuvent mettre leurs forces et leurs ressources en commun, pour mieux recruter de la main-d’œuvre et attirer davantage de nouveaux arrivants, en vendant la qualité de vie de notre milieu, dans les grandes villes du Québec et ailleurs», explique Denis Tardif.
La CAQ veut aussi créer et soutenir des zones d’innovation au Québec. Une zone d’innovation, c’est un incubateur et un accélérateur de projets d’innovation, par des entreprises existantes, des «startups» et des organismes avec des chaires universitaires et des cégeps. Rimouski en a une dans le maritime, La Pocatière en a une dans l’agroalimentaire, et Denis Tardif promet de faire des démarches pour qu'une zone d'innovation s'implante éventuellement à Rivière-du-Loup. La CAQ veut aussi créer des emplois plus payants en modifiant la mission d’Investissement Québec, pour mieux soutenir nos entreprises pour développer d’équipements plus productifs, les exportations et l’obtention brevets.
«La CAQ propose aussi de réduire les délais pour les immigrants qui ont un emploi garanti dans une entreprise en région, et c’est ça que nos employeurs me disent qu’ils ont besoin. Il faut aussi du parrainage et de l’accompagnement, par des organismes communautaires dans les trois MRC de la circonscription, pour faciliter leur intégration dans notre milieu. Mais par-dessus tout, il faut que notre politique d’immigration inclut davantage d’immigrants qui parlent français!», conclut le candidat caquiste.
1 commentaires