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Questions... et réponse!

durée 2 novembre 2011 | 08h05
2 novembre : Pourquoi une personne que l’on croyait estimable trahit-elle notre confiance?  Comment quelqu’un avec qui on croyait avoir tissé des liens d’amitié en vient-il à mentir pour se valoriser à nos dépens?  Une personne qui nous a beaucoup donné et à qui nous avons beaucoup rendu, soudain, nous noircit pour se blanchir.  Comment comprendre cela?


Les seules réponses qui viennent à l’esprit sont: jalousie, mesquinerie, même si rien ne justifie la jalousie, même si rien ne laissait présager une telle mesquinerie.  Comment une personne qu’on pourrait croire heureuse de nous voir en pleine lumière peut-elle s’abaisser à mentir, à calomnier, à trafiquer les faits pour nous tirer à l’ombre, croyant ainsi prendre notre lumière?


C’est bien triste.  Pas pour la « victime », qui n’y perd que ses illusions, mais pour la « méchante ».  Car la vérité finit toujours par sortir du puits.  On ne s’éclaire jamais en assombrissant un autre.


On ne s’éclaire jamais, mais on se révèle.  Et ce qu’on révèle n’est pas beau.



RÉPONSE À L’ÉNIGME DE L’ASCENSEUR… ET AUTRES GRANDES QUESTIONS!




3 novembre :
Réponse à l’énigme de l’ascenseur


La femme est naine (pardon:  c’est une “petite personne”).  Les jours où elle revient du travail à 17 heures, il y a suffisamment de gens dans l’ascenseur pour appuyer sur le numéro 12.  Donc beau temps, mauvais temps, elle prend l’ascenseur quand elle arrive à 17 heures.


Mais lorsqu’elle est de retour du travail à 15 heures, il n’y a personne dans l’ascenseur;  donc, s’il pleut, elle utilise son parapluie pour appuyer sur le numéro 12;  mais lorsqu’il fait beau, elle se rend aussi haut qu’elle peut (en l’occurence le 7e étage, puisqu’elle n’est pas assez grande pour appuyer sur les autres boutons!), et elle doit poursuivre son ascension par les escaliers...

commentairesCommentaires

1

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  • O
    Olivier
    temps Il y a 12 ans
    Ou bien je suis en retard d'une journée sur tout le monde... ou bien le message du 3 novembre a été publié un peu trop tôt. Mais peu importe, je savais qu'il y avait un petit quelque chose qui m'échappait... le parapluie.